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ENVIRONNEMENT du dossier :
Objectif
précédent : Calcul numérique :
les fractions…. |
Objectif suivant : |
Liste des cours en calcul algébrique liste des objectifs de
cours sur le calcul des « quantités fractionnaires » |
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INFORMATIONS : Tout sur "la
fraction" et "les écritures fractionnaires……." |
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Dossier :
Calcul des quantités fractionnaires
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la division par zéro n’existe pas dans la
fraction….. |
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Définition. |
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Propriété fondamentale des fractions. |
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Egalité de deux fractions. |
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Décomposition d’une fraction. |
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Simplification de fraction. |
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Réduction au même dénominateur de
fractions. |
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TEST |
COURS
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Une fraction est l’indication du quotient de deux
expressions algébriques. |
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La division par « zéro » étant une opération qui n’existe
pas ; il est indispensable que l’expression figurant
au dénominateur ( diviseur) ne soit pas et ne puisse
pas devenir nulle. |
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Ainsi étant donné une fraction
, il faut s’ assurer que son dénominateur n’est pas nul.et dans le cas
où le dénominateur pourrait devenir nul pour certaines valeurs de lettres ,
il faut « exclure absolument ces valeurs ». Exemples :
ne comporte pas de valeur à
exclure ; exige l’exclusion de « x
= 5 » |
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1°) |
Réponse :
il faut que l’on ait ( x – 3 ) ( x² -
25) 0 Ou ( x – 3 ) ( x + 5 )
( x - 5 )0 Et les valeurs à exclure sont : x = 3 ;
x = + 5 ; x = - 5 |
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2°) |
Indications : il faut que ( 2 x + 3 ) ( x -3
)² 0 Réponse il faut exclure : x = ;
et x = 3 |
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3°) |
Réponse : exclure : « x = 1 » ; « x = » ; « x = » |
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Définition : |
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Une fraction algébrique ,
ou un rapport algébrique, est l’expression algébrique sous la forme , du quotient d’une division qui n’a pas été
effectuée , que la division soit algébriquement possible ou non . Le dividende s’appelle
« numérateur » ; le diviseur s’appelle le dénominateur
, le numérateur et le dénominateur sont appelés les
« termes » de la fraction. Les termes d’une fraction algébrique peuvent être
des expressions quelconques , positives ou négatives , monômes ou polynômes ,
entières ou fractionnaires , rationnelles ou irrationnelle . Les fractions
algébriques sont donc plus générales que les fractions arithmétiques, dont
les termes doivent être des nombres entiers et positifs. |
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On considérera dans les trois premières parties
de ce module que les fractions dont le dénominateur est supposé différent de zéro : par la suite la valeur de la
fraction considérée sera toujours
déterminée, que la division soit algébriquement possible ou non. |
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Quand les deux termes sont des polynômes et que
la division peut être entreprise , on sait que la
fraction peut se mettre sous la forme d’une quantité
« Q » , suivie elle-même d’une fraction ayant pour le reste
« r » pour numérateur et le diviseur « b » pour
dénominateur tel que : = Q + |
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Puisqu’une lettre peut représenter en algèbre une
quantité quelconque, si l‘on a une fraction quelconque , on peut représenter par « q » la
valeur bien déterminée du quotient ( complet) quelle représente et
écrire « =q »
. Or , en vertu de la définition m^me
de la division , le quotient « q » multiplié par le diviseur doit
reproduire le dividende . Donc , l’égalité « =q »
entraîne la relation « a = b q » C’est sur l’équivalence entre les égalités
« =q »
et « a = b q » que repose toute la théorie des fractions
algébriques. ( 1
) |
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Remarque : une quantité entière peut se
considérer comme une fraction ayant
l’unité pour dénominateur : « a = »
. cette égalité est conforme à la relation fondamentale : « =q »
car « a fois 1 = a » |
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Cas des polynômes mixtes : On entend par « polynôme mixte » un
polynôme composé de termes entiers et de termes fractionnaires. Ainsi un polynôme mixte peut se ramener à une
forme entièrement fractionnaire : « a + b - = +
-
» |
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Propriété fondamentale des fractions : |
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Théorème : On n’altère
pas la valeur d’une fraction
algébrique en multipliant ou en divisant ses deux termes par une quantité,
différente de zéro. |
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En effet, une fraction algébrique n’est que
l’expression d’un quotient |
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On , on a établi ( dans division algébrique)
qu’on n’altère pas la valeur d’un quotient en multipliant ou en divisant le
dividende et le diviseur par une même quantité différente de zéro.. Donc ;.. Corollaire : On n’altère pas la valeur d’une fraction
en changeant les signes des deux termes , car cela
revient à multiplier les deux termes par « -1 » La valeur de la fraction change de signe , si l’on renverse le signe de l’un seulement des
deux termes ; car un quotient change de signe , quand on renverse le
signe du dividende seulement ou du diviseur. Conséquences : la propriété fondamentale des
fractions étant la même qu’en arithmétique , les
conséquences seront les mêmes : condition d’égalité de deux
fractions , simplification des
fractions, réduction au même dénominateur. |
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Egalité de deux fractions. |
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Théorème : Pour que deux fractions soient égales entres
elles , il faut et il suffit que le produit du numérateur de la première par
le dénominateur de la seconde soit égal au produit du numérateur d e la
seconde par le dénominateur de la première . |
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Cette condition est nécessaire
. En effet , soit « q » la valeur
commune des fractions : « »
et « » :
on a les égalités « a = b.q » et
« c=d.q » . Multiplions les deux membres de l’une par
« d » et les deux membres de l’autre par « b » : il
vient « a d = b.q.
d » et « cb =d.q. b ». D’où
« ad = cb » Cette condition est « suffisante ». En effet , si l’on a « ad = cb » et que l’on divise
les deux membres de cette égalité par « bd » , il vient « = ;
en divisant par « d » les deux termes de la première fraction et
par « b » les deux termes de la seconde , on obtient : « = » |
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Les égalités « = » et « ad = cb » sont donc
équivalentes. |
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Corollaires : I ) Pour que deux fractions , dont l’une a un numérateur nul , soient
égales , il faut et il suffit que le numérateur de la seconde soit nul
également. Soient les fractions « »
et « » . Si , dans l’égalité
« ab’ = ba’ »qui exprime l’égalité de ces
fractions , on suppose « a = 0 » , le produit « ab’ »
s’annule ; or pour que le produit soit
« ba’ » , dans lequel
« b’ » est essentiellement différent de zéro, soit nul aussi , il
faut et il suffit que « a’ » soit nul. II ) Toute fraction dont le
numérateur est nul, sans que le dénominateur le soit , est nulle. En effet, toutes les fractions de la forme
« »
sont égales entre elles, d’après le
corollaire précédent ; or , l’une d’elle est la
fraction « »,
qui doit être regardée comme égale à son propre numérateur . ( voir remarque ci-dessus « sur a= »
) |
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De même qu’on peut réduire plusieurs
fractions en une seule , inversement on peut
décomposer une fraction en plusieurs autres. Exemple : = ++= + + |
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Polynômes mixtes : lorsqu’il se
présente des additions ou des soustractions entre termes entiers et termes
fractionnaires, on réduit les termes entiers en fractions
« équivalentes » ayant pour dénominateurs : le dénominateur
commun. |
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= = |
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Applications :
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N°1 : + + = ++= |
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N°2 : + = + = = = |
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N°3 : - = - = = |
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N°4 : + + = ……= + += = = 0 |
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Simplification des fractions. |
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Simplifier une fraction algébrique, c’est lui
donner une forme plus simple, mais équivalente. C’st l’opération qui
consiste à modifier l’écriture de la fraction par suppression de facteurs
communs aux deux termes de cette fraction. |
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Règle : Pour simplifier une fraction
, on décompose les deux termes en produit de facteurs et l’on supprime les facteurs
communs à ces deux termes. Le théorème fondamental permet
, en effet, de diviser les deux termes par une même quantité. Par la
suppression de tous les facteurs communs, les deux termes deviennent premiers
entre eux : la fraction
est dite alors « irréductible » ou « réduite à sa plus
simple expression ». |
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Marche à suivre : 1°) Décomposer les deux termes en produits de
facteurs par application des méthode données dans le
cours sur « le
produit algébrique ». 2°) Supprimer les facteurs communs aux deux
termes après avoir écrit qu’ils ne sont pas nuls. Principe : Etant
donné une fraction , on doit toujours, d’abord, se préoccuper de savoir si
elle peut être simplifiée. |
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Série 1 : « simplifier la fraction
» |
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1°) ; avec x +y ou -
y |
Le
dénominateur est décomposé en produit de facteurs. Occupons-nous du
numérateur. Num. = x 3 + y 3
+ 3 x y ( x + y ) On sait que ( voir :
chapitre ) x 3
+ y 3 = ( x + y ) ( x² - x y + y² ) Donc : Num.= ( x + y ) ( x² - x y + y² +
3 x y ) = ( x + y ) ( x² + 2
x y + y² ) Num.= ( x + y ) 3 Solution : D’où :
= ; pourvu que ( x + y ) 0 |
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2°) = |
Résumé de la solution : N = ( x – 3 ) ² + (x – 3
)( 2x – 7 )- ( x² - 9 ) N= ( x – 3) ( 2x + 1) De même : D = ( x + 5 ) ( x – 3 )=
- ( x + 5 ) ( x – 3 ) avec x 3 et x -5 Solution : avec x
3 et x -5 |
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N°3) |
Solution : ; avec
3x + y – 5 0 ; y
3x |
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Série 2 : |
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Exemples : |
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N°1 : = =
( le facteur commun est 2 a b² ) |
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N°2 : =
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N°3 : == |
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N°4 : =
=
=
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N°5 : ; posons « x+y=A » et « x-y=B » |
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Solution : |
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La fraction proposée devient F = =
A + B En remplaçant les lettres auxiliaires
« A » et « B » par leur valeur « x+y »
et « x-y » On a : F = A + B = « x+y
+ x-y » = 2 x |
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Remarque : En général , on commence par décomposer le terme qui paraît
le plus facile. Soit : F= Commençant par le numérateur ,
on voit qu’il s’annule pour « x = 1 » ; on le divise par
« x-1 » et on a : N = ( x -1)( x - 2) Le dénominateur à sont
tour ,s’annule pour « x=1 » ; on le divise par
« x-1 » et on obtient D = ( x -1)( x² - 4 ) ; ou D = ( x -1)( x -2 ) ( x + 2 ) D’où : = = En divisant les deux termes de la fraction par leur « plus grand commun diviseur » , on la réduit par le fait même à sa plus simple
expression ; car les deux termes
deviennent « premier
entre eux ». Par conséquent, lorsque les termes seront des
polynômes difficiles à décomposer en facteurs , on
cherchera leur « PGCD » , par la méthode des divisions successives
, et on les divisera par ce « PGCD » |
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Exemple : = ;
on a pour PGCD : « 2x-1 » d’où
F = = |
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Théorème 1 : Toute fraction non identique à zéro est égale
à une fraction irréductible. En effet , on appelle
« fraction irréductible » une fraction dont les deux termes sont
premiers entre eux. Or en divisant les deux termes de la fraction proposée par leur « P.G.C.D. » , les quotients sont premiers entre eux . Théorème 2 : Toute fraction égale à une fraction irréductible a ses deux termes équimultiples des deux
termes de celle-ci. En effet l’égalité « = » donne « u = » ;
« u » étant entier ; doit l’être aussi ; or
, « b » devant diviser le produit « va » et ne
divisant pas le facteur « a » , doit diviser le facteur
« v ». On peut poser « v= bq » :
on obtient ainsi « u = »
ou « u = aq ». les deux termes
« u » et « v » de la première fraction s’obtiennent donc
en multipliant les deux termes « a » et « b » de la
seconde par un même facteur. |
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Réduction au même dénominateur de
fractions. |
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Cette opération consiste à modifier l’écriture
des fractions données, de façon à leur faire acquérir le même dénominateur. Comme ci-dessus il faut
,préalablement chercher à simplifier les fractions, les dénominateurs
se trouvent être décomposés en produits de facteurs. ( application : ici pré
requis et rappels ). On adopte pour dénominateur commun le produit de
tous les facteurs figurant dans les dénominateurs décomposés, s’il y a deux
facteurs constitués par la même expression, on adopte l’exposant le plus
élevé. |
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On prendra : comme dénominateur
commun : ( x
– a ) 5 Le dénominateur commun étant formé, on multiplie les deux termes de
chaque fraction par un multiplicateur tel que l’on fasse acquérir à cette
fraction le dénominateur : . Pour une fraction : le multiplicateur
est l’ensemble des facteurs qui manquent
à « »
pour qu’il devienne « »………………….. |
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Règle 1: Pour réduire
plusieurs fractions au même dénominateur , sans
altérer leur valeur , on multiplie les deux termes de chacune d’elles par le
produit des dénominateurs de toutes les autres. |
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Le théorème fondamental permet
, en effet, de multiplier les deux termes d’une fractions par une même
quantité . |
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Exemple : soient les fractions :
« » ;
« »
et « » ;
on aura : « = » ;
« =
»
et « = » Lorsque les dénominateurs des fractions données
ne sont pas premiers entre eux , deux à deux , le
dénominateur commun obtenu ne sera pas le plus simple possible . On remplacera , dans ce cas , la règle précédente par la
suivante. |
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Règle 2 : Pour réduire plusieurs fractions au même
dénominateur le plus simple possible ,
on simplifie les fractions ; puis on forme « le plus petit
commun multiple » entre les dénominateurs des fractions
simplifiées : on prend ce « P.P.C.M. » pour dénominateur
commun et l’on multiplie le numérateur de chaque fraction par les facteurs de
ce dénominateur nouveau qui
n’entraient pas dans l’ancien dénominateur de la fraction considérée. |
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Cette opération revient à multiplier les deux
termes de chaque fraction par le quotient obtenu en divisant ce « P.P.C.M. »
par le dénominateur de la fraction considérée. |
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Exemple 1 : |
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Soient les fractions : ;
;
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le PPCM = 2² 3² 5 a² b² c²
= 180 a² b² c² |
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On multiplie « x » par les
facteurs « 3 ; 5 ; b ; c² ; » ; puis
« y » par les facteurs
« 2 ; 3 ; a² ; c »
et « z » par les
facteurs « 2² ; a ; b² » et l’on obtient : |
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; ; |
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Exemple 2. Soient les fractions : ; ; ( 1 ) |
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On trouve le nouveau dénominateur commun : = 2 x 3² x 5 abc ( x + y )( x – y ) =
90 abc ( x² - y² ) |
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Le premier numérateur : on multiplie « 2a » par « 2 x 5 a ( x + y ) » ;
le deuxième numérateur :
« 3 b » par « 3²b(x – y ) » ; le troisième
numérateur « 5c » par « 3x 5c » |
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( 1 ) devient : ; ;
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Exemple 3 : Soient les fractions : ; ; |
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Il semble que les trois dénominateurs n’aient
aucun facteur commun et que le plus petit dénominateur commun doive être le
produit de six binômes ; mais , si l’on change
le signe du facteur ( b- a) et ceux des deux facteurs ( c – a) et ( c – b)
ces fractions deviennent : ; ; ;
alors le P.P.C.M. sera ( a –
b) ( a – c ) ( b – c ) les fractions deviennent : ; ; |
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Exemple 4 : Soient les fractions : ( F1) et
( F2) |
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d’où le p.p.c.m. = ( x- 1) ( x – 2 ) ( x + 2 ) |
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Les fractions deviennent : ( F1) ( F2)
; |
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Remarques : |
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N°1 : En
général, on peut « réduire »
une fraction à un dénominateur donné , sans altérer la valeur de la fraction , à condition que ce dénominateur soit un multiple de dénominateur primitif. Il suffit de multiplier les deux termes de la
fraction par les facteurs du dénominateur nouveau qui n’entraient pas dans le
dénominateur précédent. |
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Exemple : soit à donner à la fraction
« »
le dénominateur « 2 x²- 2 y² » L’opération est possible ; car « 2 x² - 2 y² = 2 (
x + y ) ( x – y ) » On
trouve =
=
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N°2 : On peut transformer une quantité entière en une
fraction de dénominateur donné : il suffit de multiplier et de diviser à
la fois cette quantité par le dénominateur donné. |
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Exemple : Soit à réduire
« a » aux dénominateurs « x » ; « xyz » ; « a-b » ; on aura : ; ;
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De même , soit la
quantité « a+b » ; il
viendra : ;
;
ou |
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N°3 : La réduction des fractions au même dénominateur
permet : de ranger , par ordre de
grandeur , des fractions données et d’étendre aux fractions les principes
relatifs aux inégalités. D’addition ou de soustraire des fractions
(possible que si les dénominateur sont identiques) |
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Autres séries d’exemples : (niveau 4) |
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Réduire au même dénominateur les fractions
suivantes : |
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Exercice N°1 |
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; ; |
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Solution : |
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La fraction « A » |
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devient : avec x
et x ; elle ne se simplifie pas…. |
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La fraction « B »: |
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devient : = avec x
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La
fraction « C »: |
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devient : = |
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Constat :
le dénominateur commun est : = (
3 x + 2 ) ( 3 x – 2 ) ; Seul le
dénominateur de la fraction « A » n’est pas modifié : |
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Pour
« B » le multiplicateur
est ( 3 x – 2 ) |
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= |
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Pour
« C » le multiplicateur
est ( 3 x + 2 ) |
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= |
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Exercice N°2 |
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Réduire au même dénominateur les fractions
suivantes : |
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; ; |
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Solution
(développement ) : |
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avec x
5 |
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= avec x 2 |
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avec x |
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On en déduit le dénominateur commun : = (
5 – x ) ( x – 2 ) ( 3 x – 1 ) |
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Solution finale : |
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; ; |
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Exercice N°3 |
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Réduire au même dénominateur les fractions
suivantes : |
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; ; |
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Réponses : ;
; avec x et avec x |
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Info (1) Un
fraction arithmétique est une
expression qui indique combien une quantité renferme de parties de l’unité
divisée en parties égales. Partant de cette définition , on montre , en
arithmétique, que toute fraction multipliée par son diviseur reproduit son dividende . ( exemple : x 11 = 3 ) et , par suite, peut se considérer
aussi comme l’expression d’un quotient . Le rapport arithmétique « »
de deux grandeurs « A » et « B » est le nombre qui mesure
la première « A » quand on prend la seconde « B » pour
unité. Partant de cette définition , on montre que
le rapport « »est
aussi le quotient de la division des nombres qui mesurent les grandeurs
« A » et « B » quand on prend une même unité de
mesure : appelant « q » cette commune unité , on a « A= aq »
et « B= bq » et l’on en déduit que
« = »
Aussi ,
pour la fraction arithmétique et pour le rapport arithmétique la propriété « x
b = a » ou l’équivalence entre
les écritures « =q »
et « a= bq »
est une conséquence de leurs définitions, tandis que cette propriété
constitue la définition même de la
« fraction algébrique » . La fraction algébrique diffère donc de la fraction arithmétique et du
rapport arithmétique non seulement par
sa généralité , mais par sa définition ;
cependant elle les contient l’un et l’autre comme le général contient le
particulier . Il n’est donc pas superflu de démontrer directement les
propriétés des fractions algébriques
et les règles qu’elles suivent dans les calculs. |
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TRAVAUX AUTO FORMATIFS
CONTROLE :
Relire
le cours !!!!
EVALUATION :il faut que l’on ait
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Refaire les exercices du cours…. |
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1°)
Quel valeur exclure pour : ; : |
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Réponse :
il faut que l’on ait ( x – 3 ) ( x² -
25) 0 Ou ( x – 3 ) ( x + 5 )
( x - 5 )0 Et les valeurs à exclure sont : x = 3 ;
x = + 5 ; x = - 5 |
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1°) |
Réponse :
il faut que l’on ait ( x – 3 ) ( x² -
25) 0 Ou
( x – 3 ) ( x + 5 ) ( x -
5 )0 Et les valeurs à exclure sont : x
= 3 ; x = + 5 ; x = - 5 |
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2°) |
Indications : il faut que ( 2 x + 3 ) ( x -3
)² 0 Réponse il faut exclure : x = ;
et x = 3 |
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3°) |
Réponse : exclure : « x = 1 » ; « x = » ; « x = » |
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REFAIRE LES
EXEMPLES DU COURS………………….