Pré requis:
Puissances |
|
Racines |
Pré requis: Ce qu’il faudrait connaître .
« Factoriser » et
« développer » |
|
|
|
|
|
Calcul
numérique (calculs avec des relatifs contenant des carrés) |
|
|
|
|
Objectif précédent
Pré
requis : Notions sur
les « limites » |
Objectif suivant 1°)Les dérivées |
|
|
|
|
|
|
DOSSIER: Approches sur les notions « des dérivées »
Définitions :
« Accroissement »
Notation
Accroissement d’une fonction
« limites » :
Définition de la dérivée d’une fonction. (remarque
importante) et « notation »
Lecture: La règle de
trois : limites
de son domaine . Essai pour étendre ces
limites :
TEST |
|
Devoir
évaluation |
Interdisciplinarité
|
|
Corrigé
Contrôle |
Corrigé
évaluation |
Accroissement : |
|
|||
|
|
|
||
|
Définition : |
|
||
|
Soit une quantité variable .
Celle-ci passe donc d’une valeur
« a » , appelée
« valeur initiale » , à une seconde valeur « b » , appelée « valeur finale » . En
calculant la quantité « b –
a » , on obtient une valeur appelée
« accroissement » , ( on dit aussi : excès de
b-a de la valeur finale sur la
valeur initiale . Ainsi , si une variable « x » prend
successivement les deux valeurs « x = 1 ; x = 3 » , la valeur
initiale est « 1 » et la valeur finale est « 3 » ,
l’accroissement est « 3-1= 2 » L’accroissement
est positif , négatif ou nul, suivant que la valeur
finale est supérieure , inférieure ou égale à la valeur initiale . De la
définition précédente il résulte que : La
valeur finale est égale à la
valeur initiale augmentée de l’accroissement . Si l’on
désigne par « h » l’accroissement de « b – a » ,on a :
« b – a = h » ou
« b = a + h » |
Le est « 3 » |
||
|
Notation :
|
|
||
|
Pour
désigner l’accroissement d’une quantité, on fait généralement précéder la
lettre qui désigne cette quantité de la lettre grecque : ( delta) Ainsi
« x » désigne « l’accroissement de
x » ; « y » désigne « l’accroissement de
y » Remarque : Il faut bien
faire attention que le symbole « x »
désigne un seul nombre, que ce n’est pas le produit de « par x »
. Les deux lettres « »et « x » font corps et leur ensemble joue le rôle d’une seule
lettre. |
lm |
||
|
Accroissement d’une fonction : |
|
||
|
|
|
||
|
Considérons
une fonction « y » d’une variable «x » Supposons
que : |
|
||
|
|
Pour « x » = a ,
on ait y = A Et que Pour « x » = b , on ait y = B |
|
|
|
En
passant de la valeur initiale « a » à la valeur finale
« b » , « x » a subi
un accroissement « x =
b – a » De son
côté, la fonction « y » a passé de la valeur « A » à la
valeur « B » , et a subi un
accroissement : « y =
B – A » L’accroissement « B – A » est ce qu’on appelle
« l’accroissement »de la fonction correspondant à l’accroissement
« b – a » de la variable.
|
|
||
|
Soit , par exemple , la fonction y = 2 x – 3 Pour
« x » = 1 on a : y =
-1 Pour « x » = 4 on a : y = 5 La
variable « x » a subi l’accroissement : « x =
4 – 1 = 3 » La
fonction a subi l’accroissement correspondant : « y =
5 – (-1) = 6 » Soit
encore la fonction : x² + x + 1 Pour
« x » = -2 on a : y
= 3 Pour « x » = - 1 on a : y = 1 La
variable « x » a subi l’accroissement : « x =
- 1 –
( - 2)
= + 1 » La
fonction a subi l’accroissement correspondant : « y =
1 – 3
= - 2 » |
|
||
|
|
|
||
Limites : |
|
|||
|
Chacun de
nous a la notion vulgaire de « la limite » d’une quantité variable. Si l’on
veut préciser un peu , au point de vue mathématique
, cette notion, on peut dire : qu’une quantité variable « y »
a pour « limite » un nombre « b », ou encore « tend
vers b » , si elle peut devenir aussi voisine qu’on le voudra du nombre
« b » si la différence
« y – b » peut devenir, en valeur absolue, aussi petite
qu’on le voudra. Par
exemple : si l’on considère la fonction : y =
– 2 x + 3 Cette
fonction « y » a pour « limite 3 » ,
lorsque « x » tend vers
zéro. La
différence « y – 3 » est, en effet, en valeur absolue égale à la
valeur absolue de « 2x » ; elle peut donc devenir aussi petite
qu’on voudra pour des valeurs aussi petites de « x » . Ainsi elle sera plus petite que si « x » est plus petit que ( en valeur absolue), elle sera plus petite
que si « x » est plus petit que ,
etc. |
|
||
Voici encore
d’autres exemples , déjà rencontrés : Une
fraction dont le dénominateur croît indéfiniment tend vers zéro. Ainsi la
fraction : tend vers zéro quand « x » croît indéfiniment , car : Pour
« x = 100 » ; y = 0,01 Pour
« x = 1 000 » ; y = 0,001 Pour
« x = 1 000 000 »
; y = 0,000 001 Et ainsi
de suite…… On peut
prendre la valeur de « x » assez grande que « y » soit
aussi voisin de zéro qu’on le voudra. |
|
|||
|
|
|
||
|
En arithmétique , on apprend que quand on ajoute un même
nombre aux deux termes d’une fraction , cette fraction se rapproche de
l’unité. Quand le
nombre que l’on ajoute « croît indéfiniment » ,
la fraction tend vers « 1 » . Ainsi
considérons la fraction , ajoutons un même
nombre positif « x » aux deux termes ; la nouvelle fraction croît avec
« x » et tend vers
« 1 » quand « x » croît indéfiniment. Il
suffit, pour le voir, d’opérer comme nous l’avons fait au paragraphe précède. On écrit = Quand
« x » croît ; décroît , donc la partie soustractive de
« y » diminue et « y » croît . Quand
« x » croît indéfiniment tend vers zéro, donc « y » tend
vers « 1 »
, puisque la différence « 1-y » égale
à devient aussi petite que l’on veut. Nous admettrons , à ce niveau, sans démonstration que Si
plusieurs quantités variables ont des
limites , leur somme ou leur produit a une limite
qui est la somme ou le produit de ces limites. Nous
admettrons aussi que : Si deux
quantités variables ont des limites : leur quotient a une limite qui est le
quotient des limites , pourvu que la limite du
dénominateur soit différent soit différente de zéro. Lorsque
le dénominateur d’une fraction tend vers zéro , et
que le numérateur reste différent de
zéro , la fraction croît indéfiniment.
Voir les
exemples ………………. |
|
||
|
|
|
||
|
|
|
||
|
|
|
||
|
|
|
||
|
|
|
||
|
Lecture:
La règle de trois : limites de son domaine . Essai pour étendre ces limites : |
|
||
|
|
|
||
|
Des limites :
A propos des
dérivées nous rencontrerons une notion
importante : celle de « limite » qu’il nous faut définir . Considérons un segment de
droite AB représentant l’unité : Soit M1 le milieu de AB , AM1
représentant le milieu ,soit M2 le milieu de M1B , M1
M2 représente le quart ( )
, soit M3 le milieu de M2
B , M2 M3 représente le etc ; ….Soit
M4 le milieu de ….. Il est évident que les points « M » successifs se
rapprocheront constamment du point « B » mais ne l’atteindront
jamais puisque chaque point « M » est le milieu d’un segment de
droite ayant justement « B » comme extrémité. Il en résulte que la somme : S = ++ + +++
…… Se rapproche constamment de l’unité
lorsque le nombres de ses termes augmente indéfiniment ,
elle peut n’en différer que d’une quantité aussi petite que l’on voudra mais
elle ne sera jamais rigoureusement égale à l’unité . On dit que
« S » a pour limite 1 ou tend vers 1 lorsque le nombre de ses
termes augmente indéfiniment . Dans certains calculs on a à considérer plusieurs quantités u , v , w qui tendent respectivement vers des limites u1 , v1 , w1 . Nous admettrons ,
sans le démontrer , que la somme u + v
+ w a pour limite u1 + v1 + w1 , que le rapport a pour limite , que le produit u . v . w a pour limite u1 . v1 . w1 Exemple
sur la notion de
dérivée : Considérons la fonction y = x2 ( 1) Si la
variable « x » s’accroît d’une quantité très petite appelée (delta
de « x » ) et noté : D x la variable devient x + D x . La fonction « y » s’accroît
d’une quantité correspondante D y et devient y + D y
Proposons nous de calculer D y en fonction de D x puis le rapport
Appliquons la formule (1) . Cette formule nous indique que la valeur de la
fonction se calcule , en élevant au carré la valeur
correspondante de la variable soit : y + D y = ( x + D x) 2 y + D y = x2 + 2 x .D x + D x 2 (développement : SOS ) supprimons y = x2 dans les deux membres D y = 2 x .D x + D x 2 le rapport s’obtient en divisant les deux membres par D x : soit = 2
x + D x On appelle dérivée de la fonction y = x2 , par rapport à « x » , la
valeur limite du rapport lorsque D x tend vers zéro. Il apparaît
immédiatement que si D x s’évanouit tend vers 2x ; « 2x » est la dérivée de « y » = x2 par
rapport à « x » Définition : la dérivée d’une fonction est la limite
, vers laquelle tend le rapport de l’accroissement de la fonction à l’
accroissement correspondant de la variable , lorsque celui-ci
« s’évanouit » Remarque : |
|
||
|
Pas de
travaux auto formatifs….. |
|
||
|
|
|
||
|
|
|
||
|
|
|
||