Pourquoi
« warmaths » qui n’a
rien de ludique ?
« Beaucoup
de gens pensent que la démocratisation de la culture passe par un abaissement
du niveau , par une vulgarisation. C’est une vision manichéenne ! C’ est justement
quand on ne transige pas sur l’exigence qu’on obtient quelque chose. »
« warmaths » n’est pas qu’un simple
produit numérique interactif.
Il est différent de tous les autres produits informatiques,
Il est intégralement libre d’accès..
Vous n’y
trouverez rien d’amusant. Il n’a rien de ludique.
·
Il est
destiné à mettre en œuvre d’autres pratiques formatives et éducatives qui vont
obliger le formateur et l’élève a entrer dans un dialogue .c’est le suivi
individualisé que les élèves soient ou pas en groupe constitué «de niveau
hétérogène ou pas ».
·
Il va
permettre de renforcer le lien entre le « professeur , le maître , le
formateur » et « l’élève. » l’objectif étant la recherche de la
réussite . C’est
rechercher l’erreur,pour ne plus la refaire , c’est identifier les manques ou
les lacunes pour les combler..
Warmaths n’est pas conçu pour remplacer le prof.
·
Il est
va « obliger » à mettre en
place un dialogue entre l’élève (celui
qui se forme et qui veut ,doit savoir) ) et le
Maître (celui qui sait et qui accompagne
l’Elève)
·
Il va
engager la responsabilité du formateur ou du professeur lorsqu’il doit décider
de donner le niveau à l’élève.
warmaths n’est
pas qu’une source d’informations interactive « cours » ,
Warmaths est conçu pour
« faire exister et vivre » un process pédagogique :
l’individualisation en formation
Il contient :
·
Des outils vont permettre d’organiser et
gérer le suivi individualisé .
·
Des documents interactifs qui vont assurer la
qualité de l’aide à la formation .
·
Des documents
qui vont permettre d’assurer le suivi de chaque élève.
·
Des acticités qui vont permettre de mettre
chaque individu en situation de « réussite scolaire » ., sans
contrainte calendaire.
·
………..
NOTA :
Un devoir formatif « non validé » implique qu’ un travail d’apprentissage est à reprendre , à compléter :
La notation des travaux a pour fonction de situer
l’élève par rapport à la note maximum « 20 »
A chaque devoir non validé une période de
remédiation ou médiation doit se mettre
en place ( en commun accord « prof
- élève) , ce travail est destiné à réduire l’ écart (jusqu’à ce qu’il disparaisse) entre le
niveau de celui qui se forme et le
niveau de formation visé .
Pour réduire cet écart il faut mettre en place
des activités d’apprentissage que doit
entreprendre «
volontairement » celui qui veut se former .
Le formateur devra , pour réduire cet
écart , instaurer un « dialogue ».
Ce
dialogue passe par la réalisation de travaux écrits à faire et à corriger .
C’est à partir des erreurs « constatées » qu’il pourra mettre en place des activités négociées de rattrapages (médiation) ou de remise à niveau (remédiations) .
« Valider » la formation reste
l’ambition de celui qui se forme et du formateur.
Ce
sont des activités pédagogiques
(explications,.) et activités « travaux
auto formatifs » (devoir « à blanc » ;
manipulations, réalisation…. ) qui vont permettre de connaître le niveau « atteint » et ce qui
reste à faire pour atteindre le niveau
qui a été visé au début de l’entrée en formation ( et
communiqué à celui qui se forme) .
ATTENTION : la méthode « impose » deux types de travaux « auto formatifs » et « formatifs » à faire par
écrits . Ils sont indissociables :
Lle contenu des devoirs formatifs sont
intégrés dans les travaux auto formatifs
.
1°) il y a les travaux qui vont
permettre de « contrôler »
si ce qu’il faut « savoir
et retenir » « à
capitaliser » , on les appelle « savoirs déclaratifs » (objets
ou procéduraux . Ce travail de mémoire
est un travail de
« préhension ».
2°) il y a les travaux qui vont
permettre d’ « évaluer » ce qu’est capable de faire
l’apprenant à partir des « savoirs acquis » .On parle dej
« savoirs - faire » à maîtriser . Ce sont des exercices ponctuels et des
situations problèmes qui font appel
à des connaissances
interdisciplinaires et dont la réalisation prend appui sur l’utilisation
des savoirs dit « déclaratifs ».
(c’est alors un travail en
compréhension )
L’ Apprentissage (cliquez ici «en savoir plus
sur les lois de l’appren..) (comprendre ; apprendre ; réciter )
est un travail « individuel » et « personnel » . N’oubliez pas qu’il faut pour réussir avoir l’intention de tout faire pour réussir.
Reprendre des études , est au début souvent vécu comme
étant « pénible » et « contraignant ».
La méthode
employée (l’individualisation du suivi et de la formation ) a pour but de guider , d’accompagner et
d’aider celui qui se forme.
Le support
informatique (banques de données interactives ) l fournit toutes les
informations et tous les documents interactifs (imprimables ) pour que cette formation soit « faisable » et
« validable » .
Valider et
certifier :
·
Si chaque étude est « Validée » , chaque étude peut être
« certificable » par un tiers n’intervenant pas dans le processus de
formation de l’élève.
Aider :
·
En cas de difficulté, il est possible d’intégrer une formation de
remédiation qui va permettre à celui qui
a un problème passager de redescendre de
niveau, de se former en formation complémentaire ; et ensuite
« reprendre » la formation momentanément mis de coté.
Préparer et
Passer et réussir chaque devoir formatif:
·
Préparer :
Pendant l’ Apprentissage, il faut fournir un travail personnel , pour
cela il faut utiliser les travaux auto - formatifs ( contrôle et évaluation).
Ces travaux
« écrits » sont des activités indispensables qui doivent être «préparés et réussis ». Ils préparent le devoir formatif.
Le devoir
formatif doit permettre de contrôler que les savoirs déclaratifs sont capitalisés par
celui qui doit les apprendre , le devoir formatif doit aussi permettre de vérifier que ces savoirs sont maîtrisés en
réalisant des « savoirs - faire » qui sont en lien avec ce qu’il
faut savoir. ( évaluation de compétences)
( Voir le
référentiel @ )
·
Passer Se former
nécessite beaucoup d’effort, de
courage, de volonté.
Pour faire
valider cet « apprentissage » ,il
faut passer le devoir
« formatif » joint à chaque objectif - cours .
Ne pas avoir de
contrainte calendaire :
·
Chaque individu qui veut étudier un objectif de formation
« cours » doit
« entrer » en apprentissage .
·
La durée de ces apprentissages est
différente et varie d’un individu à l’autre .
Pour apprendre
et réussir on fait intervenir :
« la disponibilité »,
« la motivation » , des
compétences pour « apprendre à
apprendre » (cela s’apprend * ) , il faut posséder « un niveau pré
requis » , c'est-à-dire posséder un capital de connaissances déjà acquis
(sur lesquelles on devrait prendre appui
pour progresser ,
*et on a besoin
de connaître un méthode(s) de travail
pour pouvoir apprendre seul .
Les devoirs sont des productions écrites,
ils sont obligatoires , ils peuvent
toujours être « repassés » .
Le devoir
« formatif » permet de voir si
le niveau est atteint , il contient des épreuves de contrôle et
d’évaluation , c’est un contrat. Il doit être réussi pour que le « niveau
à atteindre » soit
« validé » et « certificable » .
Pour chaque
leçon « à étudier » il y a des
savoirs « à réciter » par écrit
et des savoirs faire ( exercices et situations problèmes) à traiter ,
ils vont permettre de vérifier que les savoirs sont compris et exploitables par
celui qui les a appris.
Il n’ y a pas
(jamais) de devoir « surprise », celui- ci est (toujours)
préparé ; le questionnement sur le cours et les exercices et problèmes du
devoir sont (toujours au chiffre
différent prés ) contenus dans le travail auto - formatif qui est fourni dans chaque cours.
Si les travaux
auto formatifs qui accompagnent chaque cours ont été sérieusement travaillés
et si tous les devoirs
« formatifs » ont été passés ,
corrigés , rattrapé, la formation sera
validée sans autre difficulté.
Se souvenir
que l’ erreur est
l’indicateur d’un « certain » niveau atteint. Ce niveau
« constaté » est le point de
départ d’un complément de formation pour
atteindre le niveau prévu , défini au départ) .
« Beaucoup de gens pensent que la
démocratisation de la culture passe par un abaissement du niveau , par une
vulgarisation. C’est une vision manichéenne ! C’ est justement quand on ne
transige pas sur l’exigence qu’on obtient quelque chose. »