Ce qu'il faut faire pour qu'un travail formatif soit validé.

 

►lecture ►la grande majorité des soit disant « professeur -pédagogue » donne un  devoir inexploitable en apprentissage.

 

 

   I)  voir  @ les stades Piagétien)  

 

 

Ne pas confondre :

«  être informé » et  « être formé »

 

   II)  Voir « critique du système actuel basé sur la « sur –information » )

FORMER

VALIDER

CERTIFIER

 

·        Se former : c’est mettre en œuvre des activités d’apprentissage et mémoriser des nouveaux savoirs.

·        Se former c’est donc capitaliser d’autres savoirs et développer de nouvelles compétences.

 

Info : Former ou informer ?  ,

 

Technique : « élaborer un devoir formatif » « élaborer un devoir formatif »

Les différents types de travaux :

 

MAITRE et ELEVE :

 

Le maître :   Celui qui sait , et qui a la charge de transmettre une partie de ce qu’il sait est appelé :« maître ».

 

L’élève :    Celui qui doit « apprendre pour savoir »  est appelé «  l’élève » .

 

Dans une relation  « maître - élève »   les deux doivent « apprendre » . 

-         L’élève apprend pour apprendre  ( il doit  mettre en jeu des activités d’ apprentissage) .

-          Le maître apprend à connaître l’élève pour l’accompagner cet ’élève dans ses activités d’ apprentissage.

 

 En effet , chaque élève est «  unique », chaque élève va mettre en œuvre  ses propres capacités , pour s’approprier les savoirs et savoirs faire qui vont le faire progresser dans l’étude pour atteindre un objectif .

 

 Pour que cela se réalise , le maître   à la charge de  le faire réciter , soit répéter ou faire ou refaire , de transférer ou  d’adapter  , en fonction du niveau défini par un référentiel  .

 

Remarque : C’est l’avalanche d ’informations  qui « tue » la formation .

 

Les objectifs d’un élève c’est d’atteindre un niveau « pré défini » par les textes .

 

Les objectifs du maître , c’est de mettre tout en œuvre ( ses savoirs , ses compétences, ….) pour que CHAQUE ELEVE  puisse atteindre l’objectif visé . Il faut proposer des activités « personnalisées » pour faire progresser un élève sont les activités d’apprentissages.

 

Les apprentissages, sont des activités qui prennent appui sur des savoirs et des savoirs faire pré requis qui ont été capitalisés et maîtriser.

 

Exemple :

 

Pour faire la multiplication  365 par 7 :  ( rapidement )  il faut connaître  la table des « 7 » .

Pour  comprendre ,  apprendre , retenir  il faut  connaître  et savoir utiliser la table des « 7 » il faut avoir fait l’addition  7 + 7 ; mais pour savoir que 7+7 = 14 , il faut avoir appris que 14 c’est la simplification de l’addition  10 + 4 ,  et que  10 représente « 1 » dizaine , et que « 4 » représente « 4 » unités , et que 10 unités , prend pour référence les deux poignées de doigts de la mains  soit « 10 ( ?) doigts , qui fait une double poignée ; …… Au vu de cette exemple , il est évident que la démarche repose sur une somme de savoirs déclaratifs (nommer des objets) et des savoir déclaratifs procéduraux, et que pour « fixer » cérébrale ment » ces savoirs il faut « savoir faire » , réaliser et transférer à d’autres situations . ( ainsi 7 voitures plus 7 voitures font 14 voitures ; 7 voitures et 7 camions  donne 14  véhicules , ………( ce qui implique que l’élève doit apprendre à utiliser des « outils » , pour donner du sens à ses connaissances, ….)

 

Pour reprendre l’exemple : avant de poser la multiplication de  365 par 7 ;

Il a fallu  apprendre  que  5  fois 7  = ……….35    (  en sachant que   35  c’est  30  et 5 )

Et aussi que  365  c’est en fait    5  + 60 + 300  , que 60  c’est   6 fois 10 ; que 300  , c’est 3 fois 10 qui donne 30 et que 30 fois 10 fait 300. ( il a fallu donc apprendre à classer des unités « par unités » , par paquets de 10 , par paquet de 10 de 10 (pour faire 100) ; et ainsi de suite ;

 

 

Il faut  beaucoup d’énergie , de connaissances , de temps pour apprendre que :

Le nombre  « 365 »   ( une alignement horizontal de chiffres )  est  une écriture simplifiée . C’est une valeur arithmétique  issu d’une addition de trois nombres  :   300 + 60 + 5 ;  ainsi  365  est une  décomposition :  3 centaines + 6 dizaines + 5 unités.

 

 

Et que 3 centaines + 6 dizaines + 5 unités  s’écrit   300  + 60  + 5

 

365 fois 7  =   300 fois 7   plus  60 fois 7  plus 5 fois 7 ;

et que la multiplication est une addition suivi d’une addition d’addition ,….  

 

On pourra aussi parler du tableau de numération des nombres décimaux …. 

 

 

En conclusion :  Que faut-il  pour que chaque élève ait la chance de réussir scolairement ?

 

Le   maître doit assurer un  suivi individualisé , qui a pour fonction , d’aider « pas à pas » chaque élève.

 

Donner  des travaux auto - formatifs

 

Faire passer des devoirs formatifs .

 

Ces travaux individuels  servent  de point de départ pour « enclencher et faire vivre » des apprentissages  individualisés .Jusqu’a ce que la formation visée soit validée.

 

 Il n’y a pas de hasard, ni de don , pour réussir .

 

Il faut , impérativement , avoir  capitaliser et maîtriser des connaissances , pour réussir  en milieu scolaire .

 

Dans le milieu scolaire , les textes définissent et décrivent clairement le contenu  des savoirs et  savoirs faire que doivent capitaliser et maîtriser , chaque élève , pour atteindre  le niveau visé .

 

Est ce que tout le monde peut réussir scolairement jusqu’au niveau IV  ?  :

 

Oui si  on se conforme à ce qui suit  :

 

Pour réussir des études de niveau V il faut avoir atteint le niveau VI , Pour prétendre réussir des études de niveau IV ,  il faut avoir réussi toutes les épreuves qui valident le niveau V , ….et ainsi de suite .

 

La réussite scolaire dépend essentiellement  de l’implication de l’ensemble des maîtres qui auront en charge l’élève durant toute sa scolarité .

 

C’est , généralement , le premier maître qui néglige de contrôler et évaluer en apprentissage , qui  sera à l’origine des lacunes ( savoirs déclaratifs non comprises et non apprises ) qui sont les bases  sur lesquelles on prend appui pour progresser de niveau .

 

Ce sont  les  activités d’apprentissage  mal menées   qui  conduisent  l’élève dans une situation d’échec.

 

 

C’est à partir de  l’école , et surtout  lorsque l’élève passe de la 6ème  à la 5ème puis de  la quatrième à  la  3ème  de  collège , »automatiquement »  que l’élève «  accumule,  » des lacunes , qui le condamne à l’échec dans la matière concernée .

 

c’est alors qu’il n’y a plus de possibilités à beaucoup d’élèves de pouvoir réussir scolairement .

 

Les élèves qui entrent en formation professionnelle ont les mêmes capacités que ceux qui entre en classe de seconde indifférenciée :

 

La différence entre ces deux types d’élèves : les uns ont capitalisés des connaissances , les autres ont accumulées dans les matières importantes des lacunes . ( terminer en 6ème avec des lacunes , et passer  en classe  supérieure  c’est condamner inexorablement l’élève à l’échec .

 

Etude de situation d’élèves au collège , dans une pratique traditionnelle ( c’est le cas pour la plupart des établissement)

 

( c’est à dire : que la formation se limite à un exposé et des exercices , en groupe , où les activités spécifiques et indispensables d’apprentissages prenant appui sur des travaux formatifs qui vont permettre de contrôler que l’élève  à compris , appris , des « savoirs » et  des travaux d’évaluation qui prennent appui sur la façon de réfléchir et mettre en œuvre les savoirs pour réussir des exercices et situations problèmes  ) 

 

Par exemple : en mathématique

 

Un élève  A :   à    18  en 6ème , aura 16  en 5ème , si rien n’est fait  il aura  13 en 4ème   et terminera avec   11 en 3ème , avec peut être un 15 au brevet . (les soucis vont venir en seconde)

 

Un élève  B :   à    « 13/20 »   en 6ème , aura  « 9 »   en 5ème , si rien n’est fait  il aura  « 6 » en 4ème   et terminera avec   « 3 » en 3ème , avec peut être un 9 /20 au brevet . ( l’échec est assuré , voir garanti  en seconde).

 

 

 

 C’est sûrement pour cela , que les professeurs de collèges envoient les élèves dans une formation professionnelle , une voie nouvelle , ou l’on sait que plus de 70 % des matières sont nouvelles et dont on sait quelles sont bien enseignées, parce que l’élève est en situation permanente d’apprentissage.

C’est souvent , dans ce type d’enseignement que les professeurs en enseignement général se rendent compte que tous ces élèves ont de réelles capacités , et que si chaque élève est mise en situation de remédiation , celui ci peut , si on lui donne l’occasion de réussir les épreuves qui les avaient classées comme « ânes » au collège.

 

 

    

 

On lui confie une groupe d’élèves , à lui de mettre en œuvre des méthodes , stratégies  pédagogiques pour que chaque élève  puisse atteindre et faire valider , ce qu’il doit savoir et savoir , lorsque celui quitte son maître pour un autre. Cet autre maître , continue à faire progresser « l’élève » en prenant appui sur les connaissances supposées acquises précédemment.

 

( problème : que faire , ou que décider ,  lorsque l’élève  (qui devrait passer dans une classe où l’on  va continuer à « monter » de niveau ) n’a pas encore  atteint le niveau pré requis , sachant que changer de classe sans avoir le niveau , c’est posséder des lacunes qui vont conduire inéluctablement l’élève dans une impasse , ne plus pouvoir progresser.  

 

 

Le maître doit faire  acquérir  des connaissances , dont les intitulés des contenus  (en quantité et qualité) lui  sont imposés par les textes (textes  qui normalement ont été élaborés par nos Pairs) .

 

Le maître ,dans sa classe , à un niveau donné d’enseignement ,  dans le cadre de ses activités, est  maître de sa pédagogie . Ce n’est pas lui qui doit décider du degré de performance que doit atteindre l’élève pour être classé « au niveau » .

 

Il est évident qu’il devrait exister des devoirs communs à tous ceux qui  exercent dans un niveau . Ces devoirs normalisés , officiels , devraient être réussis par tous les élèves . Ces devoirs ne devraient être que  des  applications  ponctuelles de situations  d’apprentissages ( ce qui signifie que les élèves ont déjà réussis , en apprentissage, ces types d’épreuves )  

 

C’est la négligence des activités fondamentales des  apprentissages , qui conduisent l’élève en situation d’échec scolaire.

 

Ce sont les maîtres et les professeurs qui ignorent  ou minimisent  l’importance  du  rôle des activités « d’apprentissages ».

 

Pour chaque élève ( apprenant) , « entrée en apprentissage » , c’est pour celui qui sait (le formateur , professeur , parent , éducateur  …..) un devoir fondamental de transmettre.

 

 

En apprentissage , pour le « Maître »  c’est « interroger » un  « élève », identifier des lacunes , reconnaître des erreurs , et  prendre  compte les lacunes et l’échec de chaque  l’élève , pour  l’accompagner vers la réussite.

 

 

 

: parce qu’ils ne tiennent pas comptent du développement spécifique de chaque élève , parce qu’il poursuive un programme qui suit un rythme « aléatoire » de la classe , et  en « abandonnant » l’élève en retard , en le frustrant parce qu’il  accumule  des lacunes , qui le condamne , inexorablement à l’ échec .

Chaque élève doit progresser , et réussir  à son rythme .

 

L’ échec est évitable , si le maître est capable d’anticiper les erreurs de chaque élève , et si est capable d’apporter une solution , une méthode pour que celle ci ne se renouvelle pas .

 

L’échec provient du manque  de « dialogue » avec l’élève. 

 

Un élève est en situation de réussite, s’il a déjà réussi lors de ses apprentissages.

 

LES APPRENTISSAGES et les travaux et devoirs formatives “renégociables” sont indissociables.

 

Entrer en formation , c’est entrer en apprentissage. Entrer en « apprentissage » c’est  vouloir capitaliser des savoirs et des savoirs faire.

Tous ces savoirs te savoir faire ( regroupés sous le terme générique « connaissances ») doivent être la propriété de chacun. D’où le suivi individualiser pour que le formateur puisse aider l’apprenant.

 

Ce n’est pas la qualité et la beauté des informations qui font que les élèves vont posséder des  connaissances.

En effet les « élèves »  , « collégiens » et  « lycéens » et autres  personnes qui doivent de former sont « noyés » dans un flot d’ informations. Ce sont des flaches , des images , qui ne sont ni capitalisées , ni  intégrées .

« Se former » exige des efforts « intentionnels » , pour s’imprégner d’information , et les mettre en cohérences avec d’autres.

 

L’échec est un constat , la réussite est un état.

 

Ne pas confondre «  être informé » et  « être formé »  

 

Une grande majorité d’enseignants ou  professeurs pensent  « faussement » qu’il forment un « élève » parce qu’il  ont  pensé et réalisé « une belle information » , qu’ils ont « généralement »  diffusée à un groupe ou une classe d’élèves sans avoir le souci de savoir si chacun à « capté » ce « discours ». ( parce qu’il a préparé une belle sortie pédagogique , parce qu’il a utilisé un logiciel « amusant » , « ludique » , parce qu’il a passé une belle cassette  audio ou vidéo , …..)

 

 

Il ne faut  pas confondre « informer  » et  « formé »  ou Croire « qu’informer » c’est « former ».

 

 

« Former »  c’est transmettre des « connaissances »  . C’est aider l’autre , prendre appui sur des moyens de communication  « lisibles » par le maître et l’élève ( écrit , musique, image ,objet  fabriqué ,…..) , pour que l’élève s’approprie ces connaissances . Donc , « former »  c’est  accompagner , guider , interroger , expliquer  , corriger  , répéter , renégocier , pour qu’enfin l’élève égale le maître.

 

 

La formation est la conjugaison de deux activités :

-         Activité l’auto formative :

 L’individu est face à de nouvelles connaissances à acquérir, il doit capitaliser de nouveaux savoirs  et il doit savoir exploiter ces savoirs , ce sont des savoirs faire qui se présentent  sous la forme d’exercices ou situations problèmes « à réussir » .)

-          et la validation de la formation

C’est une activité qui  peut être  répétitive , puisqu’elle à pour but d’identifier l’erreur , trouver le complément de formation qui va permettre de ne plus la faire , et de mesurer que la formation complémentaire à permis de corriger l’erreur ) .

 

Remarques :

-         L’activité « certificative » n’est pas une activité « formative ».

-         En phase « auto - formative »  l’apprenant est acteur de sa formation , le formateur  « guide » et « accompagne » et « responsabilise »  celui qui se forme.


 

CRITIQUE  du   DEVOIR  NON - FORMATIF   est  un   devoir   « missile » destiné à faire éclater un groupe .

 

Ce devoir met les élèves en compétition, les uns contre les autres . Celui qui donne ce de type de devoir ( le prof , généralement)   connaît d’avance les performances de chaque élève et les chances qu’ils ont de réussir , et d’être en tête .

 

 

 

Un devoir non formatif  ne mesure que des compétences diverses et variées , c’est un devoir loterie , un devoir « four tout »  , dans lequel il est difficile de mettre des liens entre les difficultés posées .

Ce devoir n’a pas lieu d’exister , si  l’élève est en situation d’apprentissage. 

.

C’est le type de devoir que l’on  ne devrait jamais donner en situation d’apprentissage

 

Exemple d’un  relevé des notes obtenues par les élèves après un devoir  traditionnel « bilan ».

 

Le  tableau   ci dessous  montre une  situation  d’évaluation  qui mesure des compétences .

 

Le devoir traditionnel : C’est un devoir  « sorti »  du hasard « presque » ;  le professeur « décide » ,  on donne des exercices et des problèmes , plus ou moins en lien avec une ou des  leçons qui auraient était traitées « précédemment » .

 

Ce type de devoir n’ a aucun intérêt si l’on se situe  dans le  cadre « formatif » . Le corrigé ne montrera à l’ élève  qu’il était possible d’avoir bon .

 Ce devoir positionne l’élève par rapport à la classe , un ne position pas l’élève par rapport à un niveau de compétences  qu’il aurait du acquérir  ?

Dans la recherche d’une pédagogie de la réussite on ne peut  rien faire avec les résultats  obtenus par l’élève .

Ce type de devoir aide à faire  un constat d’échec , le temps qui s’est écoulé entre le moment ou le cours à été donné  et  le jour du devoir  est tel qu’il est impossible de trouver les raisons  qui ont conduit l’ élève à l’ échec. 

 

Dans ce type de devoir on ne vérifie pas  si l’élève à « capitalisés »  les savoirs  . Il devient  difficile de  faire  une analyse des erreurs, il  est  donc difficile de proposer  un complément de formation. 

 

Tableau   1 :  Cas d’un devoir non formatif : ( le devoir non formatif , qui généralement , sont des épreuves qui reposent sur des objectifs terminaux a atteindre , ne permet pas , après la correction , d’identifier  rapidement  et « clairement les lacunes », qui serviraient  de reprendre une activité d’apprentissage destinés à atteindre le niveau « non acquis ».

Ce sont là des devoirs pièges qui ne sont pas  là pour donner confiance à l’élève qui a « ramassé une piteuse ».

C’est lors de la correction « au tableau » , que l’élève comprend :  il comprend qu’il n’a pas appris ce que le prof lui avait donné à apprendre , Il comprend qu’il a compris tout ce que le prof disait , « parce  que lui sait  ce qu’il fallait savoir  et qu’il fallait apprendre,….. .

 

C’est à  ce niveau que l’on peut rendre responsable le professeur :

-         a - t- il contrôler chaque élève ? ( contrôler : c’est donner une épreuve de récitation  que doit passer chaque l’élève  et qui permet de vérifier si  celui ci à  appris , retenu , c’est dans la même période  ( celle des apprentissages) qu’il va « évaluer »  chaque élève , c’est à dire qu’il va identifier chaque nouvelle difficulté que doit franchir l’ élève  et  alors  mesurer le niveau de performance de chaque l’élève à mettre en œuvre ces savoirs « qui doit capitaliser  » . Evaluer c’est donner des exercices de difficulté progressives en lien avec les « savoirs spécifiques du cours étudié  » et il donnera des situations problèmes qui vont permettre de vérifier le niveau de mise en œuvre d’un ensemble de connaissances dans des travaux « transversaux » ( plusieurs leçons dans la même matière)  ou  « inter disciplinaires »  ( utiliser des outils de calculs , de réflexion , à exploiter dans d’autres matières) .

 

 

Dans ce cas , on subit  , on essaie d’oublier , on passe à autre chose , on verra plus tard.

 

Situation des élèves après le relevé  détaillé des notes obtenues par chacun , aux exercices (ou situations problèmes) , dans un devoir « loterie » :

 

 

Relevé des résultats :

100%

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Légende : une colonne = un élève

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Note maximale  que peut obtenir  le meilleur élève .20/20 :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Taux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chaque colonne, représente les performances obtenues. (total des points obtenus dans le devoir ), ,A chaque élève , une  colonne , une couleur, un élève. ( A ; B ; ….)

de

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les parties colorées représentent les « parties réussies » , ayant obtenu des points .

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

réussite

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parties du devoir , non réussies , n’ayant pas obtenues de points.

Dans un devoir formatif chaque élève doit compléter sa formation et réussir , les parties d’épreuves qui n’ont pas été validées.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce type de devoir condamne l’élève

Le bilan :à chaque cas on peut faire un constat , mais il est pratiquement impossible de proposer une solution pour aider l’élève pour s’en sortir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0%

 

A

B

C

D

E

F

G

H

J

K

L

M

N