LOGICIEL

WARME  Raymond (auteur)

 

L’échec scolaire d’un élève est le reflet de l’échec d’une pratique formative inadaptée..

 

 

 

La pédagogie de la réussite c’est positiver une formation :   c’est abandonner  l’idée de croire que l’on peut lutter contre l’échec scolaire.

 

 La pédagogie de la réussite c’est positiver une formation  et c’est rentrer dans un processus qui va mettre chaque individu en situation de  réussite scolaire.

 

              Ce nouveau procès pédagogique  permet de mettre en place :

 

                         A) Une nouvelle façon d’enseigner une nouvelle approche pédagogique  :   Une nouvelle organisation de l’espace et du temps de formation  c’est  la création d’un   atelier de formation et une salle de métrologie cognitive .

                 

                          B) Une formation individualisée s’appuyant sur un suivi individualisé  et cela  nécessitant une nouvelle gestion et utilisation des contrôles et  des évaluations  .

   

 

A lire précédemment «  résumé sur les lois de l’apprentissage !!!

 

« REUSSITE SCOLAIRE »  ou une « NON REUSSITE   SCOLAIRE »

 

la non réussite scolaire est sanctionnée par l’état  constaté  d’ une performance non acquise (« performance » qu’il faudrait  valider) . La non validation est traduite par ce que l’on appelle  « un   échec »    scolaire  d’un élève qui  est  en formation.

 

De ce constat, que fait -on ? Que fait - on du devoir et de l’élève ? Quel avenir à court terme ? Dans quelle situation périlleuse laisse t - on l’élève ? et le prof qui reprendra l’élève dans la classe de niveau supérieur ?

 

L’échec scolaire est un constat : il pose plus de problèmes à l’élève qu’aux professeurs. C’est un jugement négatif, il culpabilise celui qui n’a pas appris ou  mal appris ou qu ne sait pas « Apprendre » . Il n’apporte pas de solutions.  (il ne sait pas !!!!! (ces problèmes sont soit d’ordre métacognitif  ou de méta savoir)

La réussite scolaire pose des problèmes aux professeurs, qu’est ce qu’il ne sait pas et que l’élève ne sait pas.

Rechercher à mettre un élève en situation de réussite scolaire apporte plus de problèmes qu’elle n’apporte de solutions évidentes , à celui qui voudrait accompagner l’élève . 

 

Chercher à faire réussir un élève oblige le maître à s’interroger  avant d’interroger l’élève.

 

Réfléchir sur  l’état de « la  non -  réussite scolaire »  d’un élève pose plus de problème de réfléchir sur l’état  « d’échec scolaire » de cet élève.

Le maître doit faire passer un ensemble de connaissances, dont le niveau de performance est décrit dans un référentiel :

Dans la pratique : Le problème pour le formateur ne se pose pas pareil lorsqu’il donne un devoir noté et dans son interprétation de la note  :

On analyse une performance « notée » :

a)  l’élève à 10 / 20 : on reporte la note , on passe au cours suivant ,  est - ce un bon élève ?  il sait ?

b ) l ‘élève à 10/20 : pourquoi lui manque - t-  il  « 10 points » ? est ce handicapant  de le laisser avec ses manques ?

 

META SAVOIR   -  METACOGNITION - DIDACTIQUE- 

Attention , à l’utilisation de ces mots ;

 Le scientisme dans ce domaine , rend service à ceux qui  catalogue les élèves.

 

Le méta savoir :

Capitaliser des savoirs déclaratifs  « objet » et des savoirs faire  ne suffissent pas .Il est nécessaire de capitaliser des savoirs procéduraux qui vont donner du sens et mettre en lien les savoirs objets .

 

Chaque spécialité (matière) a  la  charge   de transmette des savoirs ( et les capitaliser ) et des savoirs faire ( mettre en œuvre dans des applications ces savoirs) , il est nécessaire de s ‘interroger sur la transférabilité de ces acquis.

 

Par delà chaque matière, la maîtrise de ces savoirs exige  encore que l’apprenant  donne une signification aux savoirs « élaborés » , pour parfaire un apprentissage , il importe que ce dernier en prenne conscience.

 

Pas de méta savoir sans métacognition  ( pour l’appropriation des connaissances);

Pas de méta savoir sans didactique. ( pour donner du sens logico -mathématique à la construction du savoir)

 

On fait appelle au la métacognition pour « acquérir des savoirs ».

 

Le maître ne sait pas comment fonctionne l’élève :

Métacognition : acquisition des  concepts et des notions ,sur lesquels prend appui la construction  cognitif « du savoir élaboré » .(la métacognition  est une activité qui va aider  à  chercher à comprendre par soit même ,  pour soit même, pour se connaître , pour savoir comment on parvient a capitaliser et maîtriser des savoirs et des savoirs faire ).  De  l’idée  que l’on se fait de ce concept ( exemple « table » ) et des  mécanismes qui fait que l’on comprend , mémorise ,(métacognition ou  savoir apprendre à apprendre )  pour ensuite « réfléchir » ( mise en lien logique des savoirs ». On fait appelle à  des caractéristiques   , « visuelles » , « auditives » , , « kinesthésiques », « olfactives » , « gustatives »  …….pour «qu’ individuellement » ,dont on a conscience qu’elles existent.

 

Le maître sait comment est construit ce savoir , comment  il est appliqué :

Ce  méta savoir : c’est aussi une science. Ce méta savoir , il va donner du sens , une signification au savoir élaboré. Le méta savoir prendre appui sur la didactique . C’est la mise en évidence d’une construction logico mathématique du savoir .   La didactique permet de mettre en évidence qu’il existe toujours « un pré requis » ou  une forme d’antériorité  , à chaque fois que l’on mettre en œuvre ou exercer un geste  « mental » ou « manuel ».