Cette banque (de données) interactive
couvre plus le programme des 15
années de formation part lesquelles doit
passer un individu (chaque individu) en mathématiques en milieu scolaire , en continue , sans
discontinuité ……..
C'est-à-dire : -les 10 ans,
de notre culture scolaire en mathématiques à acquérir « en primaire et collège,… » auquel
s’ajoute,
- 4 ans de formation possible
pour atteindre le niveau V.(voir plus , le niveau IV est en cours de
réalisation)
Cette
banque de données « interactive » met « à
disposition » toutes les informations pour :
former, s’informer, se former en mathématiques et
« être guidé » et « assurer le suivi
individualisé » .
L’accès à
l’ensemble des documents repose sur une
structure organisationnelle du type
« DICTACITIEL »
interactif.
Son
architectonique permet à chaque personne ,
dés qu’elle ouvre une liste et
qu’ elle prend une leçon (ou objectif) , de trouver toutes les
informations complémentaires au cours dont elle
pourrait avoir besoin , pour compléter sa formation ou son information
, et cela sans avoir besoin de faire
appel à un professeur ou un spécialiste
en mathématiques.
·
Chaque
leçon est classée , aucune n’est isolée (comme
l’est un document papier) .
·
Ce
classement respecte l’ ordre chrono logico mathématique pour qu’une information sera toujours
disponible..
Exemple :
·
Je
suis en 5ème , je dois étudier la leçon . Je la
lis , je tente de répondre aux questions , je suis en situation de
« blocage »
Et
bien : A partir de cette leçon (5ème),
je peux redescendre sur le cours (ou la leçon ) pour combler mes lacunes . ( 6ème ; Cours moyen ,…..)
Il
en est ainsi pour chaque « objectif cours » qu’il faut étudier :
et si je rencontre une difficulté pour progresser , je redescend de niveau .
Inversement,
pour donner du sens à ce travail on peut aussi
accéder au cours de niveau immédiatement supérieur.
Le
didacticiel a pour fonction de guider et donner accès , par simple « clic » , en
lecture d’écran ,a l’information
« complémentaire » ou « supplémentaire » que l’on a
besoin.
Ce
didacticiel :
-
rend cohérent l’ordre dans lequel il faut travailler les objectifs cours ou les
leçons.
-
donne du sens aux apprentissages :
il met en évidence , ce qu’il
faut savoir avec ce qu’il aurait fallu savoir (donc apprendre) et savoir
- faire pour progresser sans difficulté.
-
met en évidence la nécessité de devoir « capitaliser » des savoirs
déclaratifs qu’ils soient d’ordre procédural ou pas.(traduire des symboles ,
définir , identifier , …..)
Exemples :
- Pour faire une multiplication il faut
connaître les tables de multiplication. Pour diviser il faut connaître les
tables de divisions, mais avant cela il faut connaître la table de
multiplication…..
- Pour rendre une fraction irréductible : (cliquer ici)
Primaire |
Collège |
|
Lycée
professionnel |
|
|
|
||||||||
|
|
|
Niveau VI bis |
|
Niveau VI |
|
Formation de
transition. |
Le point de
départ de la l’élaboration de la banque de données est la formation |
Niveau IV |
|
|
|
||
|
9 |
9 |
9 |
9 |
9 |
9 |
9 |
9Niveau V |
9 |
|
|
|
|
|
CP Notions |
CM Notions |
CM Notions |
6ème |
5ème |
4ème |
3ème |
|
CAP/ BEP |
CAP/ BEP |
Bac prof. |
|
|
|
|
|
: |
: |
: |
: |
: |
: |
: |
: |
: |
: |
: |
|
|
|
Primaire |
Collège |
|
Lycée |
|
|
|
||||||||
|
|
|
Niveau VI bis |
|
Niveau VI |
|
Formation de
transition. |
Le point de
départ de la l’élaboration de la banque de données est la formation |
Niveau IV |
|
|
|
||
|
9 |
9 |
9 |
9 |
9 |
9 |
9 |
9Niveau V |
9 seconde |
9 première |
9 |
|
|
|
CP Notions |
CM Notions |
CM Notions |
6ème |
5ème |
4ème |
3ème |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
: |
: |
: |
: |
: |
: |
: |
: |
: |
: |
: |
|
|
|
Les
possibilités offertes :
Pour
chaque leçon (ou objectif de formation visé) et à partir du cours il permet de
« redescendre » ou de compléter sa formation .
|
Redescendre : |
||
|
· Sur le ou
les « pré requis » : Cas courant en
mathématique :remplacer ’une représentation graphique par une équation
…… |
· On saura
« résoudre » des équations simples
en algèbre si on a compris et
maîtrisé les 4 opérations en calculs
numériques, et si on connaît les codes d’écriture (conventions) utilisés en algèbre . Notamment :
le signe « multiplier » n’est pas utilisé en algèbre pour ne pas
le confondre avec le « ixe ». (la lettre x avec le signe multiplier x) · Avant
d’attaquer une nouvelle leçon ou module de formation ,il est toujours intéressant de connaître les cours qu’il faut avoir
étudier . Exemple :
On réussira l’étude de la leçon sur
Pythagore (dans le triangle rectangle)
, si on maîtrise le vocabulaire sur
« les triangles rectangles » d’une part et si
on maîtrise les calculs
(directs et indirects )
sur les « racines carrées
d’opérations simples ». |
|
|
· Sur le cours ou la leçon « précédente » :
|
Dans
le cadre de l’étude d’un module (dans ce cas les leçons sont classées dans un
ordre chronologique ) Il est intéressant
de revenir sur une ou des
parties de leçon qui a dû être traitée
précédemment . |
|
|
Compléter
sa formation : |
||
|
Consulter
ou travailler le « cours suivant » de niveau immédiatement
supérieur . |
|
|
|
Appliquer :
Aux activités interdisciplinaires |
|
|
|
S’enrichir
par des « lectures » |
|
|