Solution :
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Ce
qui suit n’engage que l’auteur et son vécu. De
1986 à l’an 2010 , Pourquoi
est-il , pour le moment ( mai 2012) , impossible de mettre en place des
pratiques pédagogiques centrées sur la « réussite scolaire pour tous » ,
à savoir « obliger les maîtres à gérer le suivi individualisé et la
gestion et conduite des apprentissages de chaque élève? , Où
se trouve le problème ,au sein de l’éducation Nationale ? (éléments de
réflexion) : De
la part des profs : « L’immobilisme
, ou autre aversion à changer leur pratique , ou autre refus à se remettre en
cause . » est le caractère
premier de la majorité de professeurs . De
la part des inspecteurs. et
inspecteurs (aidés à la base par une
cour de collègues désignés conseillers
dit « pédagogique » ou autre collègue « désignés formateurs »
sur le tas ou en IUFM. cooptés ) qui ont la charge
de désigner et d’organiser tous les
groupes chargés de réfléchir et de proposer des solutions pour améliorer le
système éducatif. (
Bien entendu : ces tâches sont toujours chichement rétribuées, toujours
,sans obligation de résultats) POURTANT : IL EST DIFFICILE (VOIR IMPOSSIBLE) D’
INNOVER DANS L’ EDUCATION
NATIONALE si l’on est pas « coopté »: Il
est difficile de se faire entendre ,
lorsque l’on veut remette en cause les pratiques éducatives qui entretiennent
et maintiennent trop d’élèves en situation
d’échec ( ce qui revient à dire ,que
les méthodes et pratiques employées par une majorité de professeurs sont inadaptées aux élèves qui ne
réussissent pas ) Mon
vécu : Il
faut savoir : Il est
impossible , à un professeur
(seul) en exercice, au sein de l’éducation nationale , si il
n’est pas « parrainé » , de critiquer les pratiques qui
condamnent l’élève . Il
est impossible de dénoncer ceux qui tendent à rabaisser le niveau des exigences et
trouve qu’il est préférable d’ adapter un programme , de diminuer les objectifs et
le niveau du contenu à atteindre ,pour le mettre au niveau des élèves
, ………………..ce qui évite ,aux professeurs , de réfléchir sur sa pratique ,
de chercher à comprendre pourquoi l’élève est en situation d’ échec et à fortiori de
s’interroger et chercher des solutions
pour faire réussir l’élève qui se trouve ,momentanément , en difficulté . Tout
au long de ma carrière j’ai
« étudié » , « expérimenté » , et ,avec
les élèves qui ont cherché à réussir ,
j’ai pu élaborer un process pédagogique . ( une
méthodologie et des outils) J’ai
tenté ,vainement , de faire connaître mon travail ( en ne restant que dans le cercle de l’ Education
Nationale ) . De
ce travail ,rien n’a filtré , Puisque , dès le début des expérimentation , je
suis rentré en conflit ouvert avec un inspecteur qui cherché à capitaliser des documents en faisant fi
de l’exploitation de ces documents , j’ai été systématiquement censuré . Malgré
toutes mes tentatives , de passer outre le corps des inspecteurs , Il a été
impossible de présenter en d’autres lieux (ministère , rectorat ,..) ma démarche
, , de justifier voir d’argumenter (
en théorie et en pratique ) qu’il existe
d’autres pratiques éducatives , qui peuvent remettre en cause la démarche ,
la façon de penser et le travail du
professeur. 2010 :
Rien ne change : Il est facile de
rencontrer des dizaines de professeurs qui disent ou déclarent
« chercher à lutter contre
l’échec scolaire » . Par
contre : Il est plus difficile de
rencontrer des professeurs qui
cherchent à lutter pour la
réussite scolaire et à maintenir ses élèves en situation de réussite . Mon
travail n’a qu’un intérêt : -
proposer à l’élève qui le
veut une solution pour réussir. -
proposer au professeur
une autre façon de travailler pour mettre chaque élève en situation de
réussite. Et
pourtant , ce travail , ces propositions ont été systématiquement censurées
par mes inspecteurs successifs et les collègues qui été informés de mes
travaux et qui fuyaient devant la tâche Un
inspecteur ( du même age , et avec qui j’avais mené des expériences
pédagogiques , à la période où il était professeur , et à qui j’ai eu la
mauvaise idée de lui dire qu’il racontait des âneries en matière de
pédagogie ) m’a tout simplement
censuré et il s’est opposé à toute
forme d’avancement auquel j’avais légitiment droit. . Celui-ci , après bien des courriers ,
à « consenti » à venir
examiner le contenu de mon travail de recherche sur une nouvelle approche
pédagogique concernant l’enseignement
des mathématiques . Après 4 heures , celui-ci m’a demandé de lui remettre en main propre tous mes
travaux et de me proposer en échange
un poste de formateur en IUFM ……… j’ai
, bien entendu ,refusé , de lui
donner ce travail , mais que je
lui ai dit que je le mettais à la disposition de tous les
collègues ,et ,pour cela je lui demandais
son aide pour le diffuser au sein de l’éducation nationale ; Ce
qu’il a refuser . C’est
ainsi que j’ai ,pendant les dix dernières années , fait l’objet d’une censure
,sans nom . Pour
ceux qui savent comment fonctionne l’avancement au sein de l’éducation
nationale : J’étais
au 11 échelons classe normale en l’an
2000 ( le dernier échelon , le plus haut niveau ) ; je viens de
partir à la retraite en novembre 2010 , au même échelon . L’inspecteur n’ayant jamais voulu intervenir
pour me faire passer hors classe ,alors que je devais légitiment passer dans
cette classe ,au regard de mes études , de mon engagement et de mon
investissement à tout mettre en œuvre pour faire progresser mes élèves. . En
préambule :
Mon
travail est outrageusement
censuré depuis plus de 15 ans par ceux
qui ont directement autorité sur moi (proviseurs , inspecteurs,….) , dans
l’éducation nationale . Sans
les nommer , ce sont aussi les collègues , qui gravitent autour de ces
inspecteurs (Généralement : c’est
un cercle ; Ils forment souvent
un groupe d’amis , une « bande
de copains » qui se cooptent et qui cooptent…Ils neutralisent ceux qui proposent d’autres approches et démarches pédagogiques
, ces « profs » qui veulent « faire autrement » . |
Ainsi
, d’après le dernier inspecteur qui a daigné
venir m’inspecter . Celui
est venu me voir ,avec des idées préconçues . Il est entré dans ma classe ,
mes élèves étaient en stage , (ce qu’il ne pouvait ignorer ), m’a
demandé le cahier de texte , c’est
installé . J’ai voulu lui
montrer mes classeurs , mes documents
, lui décrire mes approches
pédagogiques sur la mise en place de la formation et la gestion
individualisées de chaque élève ; n’a pas voulu la moindre explication
ou présentation , il a quitté la salle de classe . Il est parti sans m’interroger ou s’informer sur mon
travail , mais dans son rapport , celui-ci
a conclut dans son rapport
d’inspection que mon travail sur la formation des élèves était un
travail atypique. Ainsi
a-t-il jugé ,de façon restrictive , sans autre justification que la méthode que j’utilisais (alors mon travail est un process
pédagogique) n’était réductible
à du contrôle continu ( CCF) . Je
prétends que cet inspecteur n’a pas fait son travail et que par esprit de
corps , pour ne pas mettre en porte à faux son collègue , s’est fait
tout simplement, dicté son rapport d’inspection par son autre
collègue inspecteur ( M. Pic..) . Et
celui-ci à tout simplement déclaré que
le travail de M.Warmé ne mérite pas
qu’on s’intéresse : ·
ni au processus de formation appliqué aux élèves , ·
ni au site warmaths.fr et à la banque de données interactive
qu’il a mis en ligne avec ses propres deniers et auquel il a consacré des
milliers d’heures pour l’éllaborer. |
A
cela je répond : J’ai étais
impliqué dans la pratique du contrôle continu
(dans les années 80 jusqu’au début 90 ) . Malheureusement , la pratique du Contrôle
Continu se résumait à faire passer des évaluations ponctuelles
( que des savoirs faire) excluant les
contrôles formatifs et les évaluations
formatives. (c'est-à-dire : tous les contrôles de connaissances « à
savoir » . A cette période, j’ai alors dénoncé ces absences et j’ai proposé des solutions pour empêcher les manipulations , fraudes
des professeurs qui étaient payés pour mettre en place ce C.C. et j’ai dénoncé les falsifications des résultats de la part des
professeurs et inspecteurs qui
imposaient la pratique de ce type de contrôle continu. Ces évaluations ,redonnées à l’identique ,
portaient le nom pompeux : d’ épreuves
certificatives . Cette pratique
portait de nom de formation par individualisation. Cette démarche a
rapidement fait apparaître ses côtés
pervers ( gestion pharaonique de documents « papier » ; fraudes
et formation presque
’inexistantes entraînant une baisse du niveau de l’ensemble des élèves ,
à ). ……
la mise en place des nouvelles
formations « Bac prof »
proposées aux élèves ,après le CAP
, et le niveau de formation pré requis pour entrer en formation bac pro , a démontré
que la méthode du C.C telle
qu’elle était appliquée par les professeurs ,( sans obligation de résultat de
niveau à atteindre ) ont obligé les professeurs impliqués dans ce processus
et les inspecteurs initiateurs de la méthode à prendre la décision d’ abandonner ce
processus . N.B. l’idée du CC est une excellent moyen
pour valider des acquis , elle
est une activité diplômante mais ne peut être intégrer dans le processus formatif . ( le professeur ne peut être juge et parti
dans la délivrance d’un diplôme ) Mon
travail de recherche permet de montrer
qu’ Il fallait remplacer le « Contrôle Continu
Certificatif » par le
« Contrôle Continu Formatif » .et qu’avant de faire du
« certificatif » il fallait
d’abord faire du « formatif ». Ce
que je propose est : L’accompagnement
formatif (pour
réussir les apprentissages) et le suivi formatif (pour mettre en place les
activités de médiation ou de remédiation)
individualisés . Ce qui signifie qu’avant d’autoriser un individu à passer une épreuve de
certification , on passe obligatoirement ,par des épreuves de
validation de la formation. Intérêt
de la méthode : La qualité de la
formation passe par la qualité du suivi formatif . Le
maître n’a pas le droit d’autoriser un individu à passer une épreuve
certificative , si les épreuves formatives n’ont pas été validées.. |
Les inspecteurs
sont souvent des freins ,voir des entraves , à toutes les
actions pédagogiques innovantes qui
tentent de dénoncer ou remettre en cause
les pratiques pédagogiques qui mettent
ou maintiennent les élèves en situation d’échec…….
Et si on s’interrogeait sur
la part de responsabilité que porte
les inspecteurs sur les problèmes rencontrés à l’école , au collège , au lycée ;
ou que
l’on constatent dans toutes
l’éducation nationale .
La plupart de ces inspecteurs ne
supportent pas :
Je pense , qu’Ils portent , en
grande partie , la responsabilité sur
l’échec des mises en place des réformes proposées par les
différents gouvernements.
Plus fort que les
« syndicats » . Ce sont des contre pouvoir : qui ,
à l’intérieur de l’ Education Nationale , éliment ou neutralisent tous ceux qui ne pensent pas comme
eux ? et faire capoter les
propositions des ministres ……..
Je me suis battu pour élèves ,
avec les élèves , contre les élèves pour
leur donner une formation de qualité et
les faire réussir .
Mais , les combats les plus durs à
mener ont été ceux : (qui ont fait
« barrages » parce que je ne suis pas allé dans leur sens , et que
j’ai eu ,suprême affront , contesté la
validité des expériences qu’ils finançaient
et qui n’apportaient rien de nouveau
)
Contre les enseignants ( qui gravitent autour des
inspecteurs) , qui ,généralement, refusent de se remettre en cause,……
Contre de l’administration locale
(qui en règle générale ne veulent pas de vague ….) et qui distribue « la
manne » à ceux qui suivent le courant ,imposé par la hiérarchie……
Contre les inspecteurs ,qui sont venus me rencontrer
, par fois m’inspecté ,…..qui se sont gardé de faire des rapports , qui ne se
sont pas gênés de me menacer si je ne me fondais pas dans le moule…
qui vont dans le sens de lutter contre l’échec
scolaire ,
Je
n’ai eu aucune aide
soutien moral ,intellectuel ; matériel ou financier pour ces 30 années passées à mettre au point et
proposer ( à ceux qui veulent faire autrement ) un processus pédagogique
innovant ayant pour raison
d’être :
Lutter contre l’échec scolaire.
Mettre tous les élèves en
situation de réussite , en imposant un accompagnement et un suivi
individualise.
Proposer à tous (élève ou adulte)
la possibilité ,à tout moment, de
reprendre une formation ,avec la quasi certitude d’ obtenir de certification de
formation , qui ne sera pas un certificat
de complaisance…….
Avec mon vécu et les difficultés rencontrées au cours de ma carrière je
peux prétendre que : LES INSPECTEURS depassent leur prérogative , ils SONT
UN OBSTACLE AUX PROGRES PEDAGOGIQUES . ET SI ON
SE POSAIT LA QUESTION : A
QUOI SERVENT LES INSPECTEURS ?
. ET SI ON REMETTAIT EN CAUSE LE POUVOIR
ABSOLU DE CES INSPECTEURS QUI SE COOPENT ET QUI S’OPPOSENT A TOUT CE QUI PEUT REMETTRE EN CAUSE LEURS
SAVOIR, COMPETENCES ET LEUR POUVOIR………
IL EST DIFFICILE (VOIR IMPOSSIBLE) D’INNOVER DANS L’EDUCATION
NATIONNALE . En préambule : Mon travail est outrageusement censuré depuis plus de 15 ans par ceux qui ont directement autorité sur moi (proviseurs ,
inspecteurs,….) , dans l’éducation nationale . Sans les nommer , ce sont
aussi les collègues , qui gravitent
autour de ces inspecteurs (Ils forment
souvent une « bande de
copains » qui se cooptent
…et qui neutralisent les
« profs » qui veulent « faire autrement » et qui sont considérés comme étant des
« individus » qui vont à l’encontre de leur intérêts « tout particulier »……. ) |
Ainsi , d’après l’ Inspecteur qui n’a jamais voulu faire
connaître mon travail (parce
qu’il a toujours vu en moi un « concurrent » ,susceptible de
prendre sa place) : s’autorise à déclarer que mon travail est atypique et que
la méthode pédagogique ( CCF) proposée
par M.Warmé ne mérite pas qu’on lui porte intérêt par ce qu’elle « s ‘apparenterait » à la méthode utilisée en
« contrôle continu » dans les années « 80 » . (
malgré cela , un inspecteur m’a demander
de lui remettre en main propre tous mes travaux…..) …. |
En réponse : J’ai
étais impliqué dans la pratique du contrôle continu (dans les années 80 début 90 ) . Malheureusement , la pratique du Contrôle
Continu se résumait à faire passer des épreuves certificatives en individualisation , ses côtés pervers (fraudes , baisse du
niveau de l’ensemble des élèves , gestion pharaonique de documents
« papier » ) ont obligés les professeurs de prendre la décision d’ abandonner ce
processus ) . Mon travail de recherche
permet de montrer qu’ Il fallait remplacer le
Contrôle Continu Certificatif
par le Contrôle Continu Formatif .et qu’avant de faire du
« certificatif » il fallait
d’abort faire du « formatif ». Ce que je propose
est : le suivi formatif
individualisé . Ce qui signifie
qu’avant d’autoriser un individu
à passer une épreuve de
certification , on passe obligatoirement ,par des épreuves de
validation de la formation. Intérêt de la méthode :
La qualité de la formation passe par la qualité du
suivi formatif .Le maître n’a
pas le droit d’autoriser un individu à passer une épreuve certificative , si
les épreuves formatives n’ont pas été validées.. |
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