PROGRAMME D'ENSEIGNEMENT
DES MATHÉMATIQUES
ET DES SCIENCES POUR LES CERTIFICATS D'APTITUDE
PROFESSIONNELLE
A.
du
26-6-2002. JO du 5-7-2002
NOR : MENE0201500A
RLR : 545-0a
MEN - DESCO A4
Vu code de l'éducation, not. Art. L.311-2 ;
D. n°90-179
du 23-2-1990 ; D, n°2002-463 du 4-4-2002 ;
avis du CNP
du 28-5-2002 ; avis du CSE du 6-6-2002
Article 1 - Le programme d'enseignement des mathématiques et des sciences pour les certificats d'aptitude professionnelle est fixé conformément à l'annexe du présent arrêté.
Article 2 - Le directeur de l'enseignement scolaire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 26 juin 2002
Pour le ministre de la jeunesse, de l'éducation nationale et de la recherche et par délégation,
Le directeur de l'enseignement scolaire Jean-Paul de GAUDEMAR
Annexe
Mathématiques - sciences
I - PRÉAMBULE
Les formateurs qui enseignent à la fois les mathématiques
et la physique chimie au niveau CAP ont le souci de dispenser une formation
motivante et concrète qui suscite des questions et propose des réponses sur des
sujets tant de la vie courante que professionnelle. La physique et la chimie
fournissent des exemples nombreux où l'utilisation des mathématiques facilite
la compréhension des phénomènes : la représentation de résultats d'expérience
sous forme de graphiques, l'expression des lois sous forme de formules
synthétiques sont des techniques qui facilitent le raisonnement et dont
l'acquisition est d'autant plus attrayante qu'elles sont mises en œuvre dans
des contextes où leur utilité est manifeste.
La formation en mathématiques et en physique -chimie
a pour objectifs, dans le cadre du référentiel de certification, l'acquisition
de connaissances de base dans ces domaines et le développement des capacités
suivantes :
-
formuler une question dans le champ où elle se
trouve naturellement sa place et analyser les informations qui sous tendent
cette question ;
-
argumenter avec précisions ;
-
appliquer ces techniques avec rigueur ;
-
analyser la cohérence des résultats (notamment par
la vérification d'ordre de grandeur) ;
-
rendre compte par oral et/ou par écrit des résultats
obtenus.
Cette formation doit permettre en outre une
adaptation aux évolutions probables des métiers.
On notera que peu de connaissances nouvelles sont
proposées en mathématiques : la plupart d'entre elles ont
été vues au collège. Néanmoins,
il ne s'agit pas pour autant de révisions ; l'enseignant utilisera le support
de situations empruntées aux autres disciplines notamment du secteur
professionnel - ou issues de la vie courante pour faciliter la compréhension et
la maîtrise de concepts et en montrer l'efficacité.
L'usage raisonné des calculatrices est recommandé
dans les trois champs disciplinaires et doit faire l'objet d'un apprentissage
intégré : il n'est en effet pas questions de réserver un temps à part dédié à
l'utilisation des outils informatiques. Parallèlement l'initiation aux tableurs
faite au collège doit être renforcée et trouve particulièrement sa place dans
certains chapitres (statistiques, physique). Les possibilités offertes par
l'informatique d'expérimenter sur des nombres et des figures apportent de
nouvelles motivations en mathématiques ; des logiciels spécifiques pourront
aider à surmonter certains obstacles rencontrés par les candidats aux CAP.
Les activités auxquelles l'enseignement des
mathématiques, de la physique et de la chimie donnent
lieu font l'objet d'un travail interdisciplinaire exploitant au mieux la
formation en milieu professionnel.
II. OBJECTIFS GÉNÉRAUX ET RECOMMANDATIONS PÉDAGOGIQUES
MATHÉMATIQUES
La partie Mathématiques du
référentiel de certification donne pour les différents domaines de connaissance
la liste des compétences exigibles qui servent de base à la certification. Ces
connaissances sont réparties en douze unités. Les cinq premières constituent un
tronc commun à tous les secteurs professionnels ; les six dernières sont
spécifiques à un ou plusieurs domaines (l'attribution des unités spécifiques
aux différents domaines est précisé dans le texte de réglementation des
épreuves du CAP). Les durées qui figurent entre parenthèses ne sont
qu'indicatives.
Unités communes
1.
Calcul numérique
L'usage des nombres en
écriture fractionnaire est limité à des exemples simples du domaine
professionnel, des autres disciplines ou de la vie courante. Compte tenu de
l'usage généralisé des calculatrices, le calcul mental, notamment dans le but
d'obtenir des ordres de grandeur, revêt une importance particulière.
L'enseignant ne s'interdit pas de faire travailler
les élèves avec des nombres négatifs, ni de rencontrer et de faire utiliser π, , …
NB. Cette unité ne doit pas
être traitée de façon isolée. Le temps à lui consacrer est inclus dans celui
des autres unités.
2.
Repérage
(8h)
La présentation de données
correspondant à des situations professionnelles, d'autres disciplines ou de la vie
courante, et la résolution des problèmes associés font souvent appel aux
tableaux numériques et aux graphiques. Les objectifs de ce chapitre sont :
-
lire un tableau numérique ;
-
placer des points dans un plan rapporté à un repère
orthogonal ;
-
exploiter des courbes tracées dans un plan rapporté
à un repère orthogonal.
3.
Proportionnalité
(12 h)
De nombreuses situations
issues du domaine professionnel, d'autres disciplines ou de la vie courante
font référence à la proportionnalité. Les objectifs de ce chapitre sont :
-
Identifier une situation de type linéaire ;
-
Exploiter une situation de proportionnalité.
La maîtrise de la proportionnalité, notion
fondamentale de ce référentiel, doit être recherchée dans la reconnaissance
d'une situation de proportionnalité ; elle se fait par la mise en évidence :
-
soit d'un tableau de proportionnalité ;
-
soit d'une relation de la forme y = a x ;
-
soit dans un plan muni d'un repère orthogonal, d'une
droite passant par l'origine du repère.
Il convient de ne pas oublier, pour équilibrer, de
présenter parallèlement aux situations de proportionnalité des situations de
non proportionnalité.
Les tableaux de proportionnalité peuvent permettre
de résoudre les problèmes faisant intervenir des "pourcentages
indirects".
4.
Situations
du premier degré (8 h)
De nombreux problèmes peuvent
être issus du domaine professionnel, d'autres disciplines ou de la vie
courante. L'objectif
de ce chapitre est de résoudre des problèmes qui se ramènent à une équation du
premier degré à une inconnue.
5.
Statistique descriptive (12 h)
De nombreuses situations
issues du domaine professionnel, d'autres disciplines ou de la vie courante
font appel à des donnes statistiques. Les objectifs de ce chapitre sont :
-
lire et exploiter un tableau de données statistiques
;
-
réaliser une représentation graphique et l'exploiter
;
-
effectuer des calculs statistiques.
Pour développer des méthodes de travail propres à la
démarche statistique, l'emploi de calculatrices et de logiciels adaptés est
recommandé.
Unités spécifiques
6.
Géométrie
plane (12 h)
Pour développer la perception
des objets géométriques dans des situations professionnelles, dans d'autres
disciplines ou dans la vie courante, les objectifs visés sont les suivants :
-
mettre en œuvre les notions géométriques essentielles
par la description et la construction d'objets géométriques du plan ;
-
utiliser les instruments pour construire des objets
géométriques, mesurer des longueurs et des angles, constater l'égalité de
segments ou d'angles ;
-
calculer des grandeurs attachées à ces objets.
7.
Géométrie
dans l'espace (6 h)
Pour développer la perception
des objets géométriques de l'espace dans des situations professionnelles, dans
d'autres disciplines ou dans la vie courante, les objectifs visés sont les
suivants :
-
mettre en œuvre les notions géométriques
essentielles pour l'identification de solides usuels ;
-
calculer des grandeurs attachées à ces solides.
8.
Propriétés
de Pythagore et de Thalès (12 h)
Afin d'utiliser et de
consolider des notions mathématiques en relation avec le domaine professionnel,
avec d'autres disciplines ou la vie courante, les objectifs visés sont :
-
pratiquer des tracés géométriques ;
-
analyser des configurations liées aux figures
usuelles, pour dégager celles où peuvent s'appliquer l'une ou l'autre des propriétés.
9.
Relations
trigonométriques dans le triangle rectangle (6 h)
La pratique des figures doit
tenir une place centrale, car elle joue un rôle décisif pour la maîtrise des
notions mathématiques mises en jeu dans le domaine professionnel, dans d'autres
disciplines ou dans la vie courante.
10.
Calculs
commerciaux (30 h)
Les objectifs de ce chapitre
sont de :
-
faire usage de méthodes mathématiques dans un
contexte professionnel, dans d'autres disciplines ou dans la vie courante ;
-
renforcer la maîtrise des pourcentages communément
utilisés dans les entreprises commerciales.
11.
Intérêts
(4 h)
L'objectif de ce chapitre est
de faire usage de méthodes mathématiques dans un contexte professionnel, dans
d'autres disciplines ou dans la vie courante.
Remarques : connaissances complémentaires
Dans certains CAP, des
connaissances complémentaires qui ne font pas partie du référentiel de
certification peuvent être abordées en formation en liaison avec la physique,
la chimie ou l'enseignement professionnel. Pour faciliter l'adaptation à
l'évolution de la formation, voire une poursuite d'études, les connaissances
ci-dessous sont susceptibles d'être traitées. Toutefois, le professeur ne
perdra pas de vue dans ses choix que les connaissances du référentiel de
certification restent fondamentales et prioritaires .
Fonction
affine
La notation x ax+ b est à utiliser pour des valeurs de a et b données
numériquement en écriture décimale. Une fonction linéaire est un cas
particulier de fonction affine. La représentation graphique dans le plan
rapporté à un repère orthogonal d'une fonction affine peut-être obtenue à
partir d'une translation de celle de la fonction linéaire associée.
L'exploitation de la représentation graphique se fait en liaison avec le domaine
professionnel.
Inéquations
Il convient de se limiter à la résolution
d'inéquations permettant de résoudre un problème du premier degré à une
inconnue issu du domaine professionnel.
Systèmes de
deux équations à deux inconnues
Il convient de se limiter à la résolution de
problèmes en liaison directe avec le domaine professionnel.
Vecteur
et translation. Somme de deux vecteurs
L'écriture vectorielle AB = CD exprime que la translation qui transforme A en B
transforme aussi C en D. L'un des objectifs est que l'élève se
représente intuitivement un vecteur à partir d'une direction
, d'un sens et d'une longueur. Pour la somme de deux vecteurs, l'égalité
AB + BC = AC est reliée à
l'application successive de deux translations ; une autre construction d'un
représentant du vecteur somme se fait à l'aide du parallélogramme. Le vecteur
nul sera noté 0 (0 = AA = BB). On note 2AB le vecteur AB + AB.
Polygones et
solides particuliers
En liaison directe avec le domaine professionnel,
des polygones particuliers tels que l'hexagone, l'octogone, des solides
particuliers tels que la pyramide, le tronc de cône, le tronc de pyramide,
peuvent servir de support pour des constructions géométriques, des calculs de
longueurs, d'aires ou de volumes.
Grandeurs
proportionnelles à plusieurs autres
Les calculs d'intérêts, les partages proportionnels
à plusieurs autres peuvent être traités s'ils sont en liaison directe avec
l'enseignement professionnel et utile à celui-ci.
PHYSIQUE-CHIMIE
Les connaissances abordées dans cette partie du
référentiel de certification sont réparties en unités communes à tous les CAP
et en unités spécifiques attribuées en fonction des secteurs professionnels.
Dans les unités communes, la formation dispensée
participe au développement des savoirs fondamentaux et à l'appropriation de
méthodes. Elle facilitera un changement de voie de formation, voire une
poursuite d'études, mais aussi l'adaptation à l'évolution de la profession.
L'unité commune Sécurité (S) est une unité transversale, qui doit être intégrée
aux différentes unités de chaque secteur professionnel.
Les unités spécifiques apportent aux élèves des
méthodes et des connaissances dans les champs particuliers de la physique et de
la chimie afin de faciliter l'appropriation des formations professionnelles.
Les unités spécifiques retenues pour un secteur professionnel donné (voir texte
concernant la réglementation des épreuves du CAP) sont celles dont l'apport est
particulièrement important pour la formation professionnelle correspondante. Le
professeur de physique-chimie est encouragé à
développer l'enseignement des unités spécifiques et à choisir des situations
d'évaluation en relation étroite avec ses collègues de l'enseignement
professionnel.
Les durées indicatives pour la formation relative
aux unités communes ou spécifiques sont les suivantes :
Unités
communes
Sécurité (S) : prévention des risques chimiques et
électriques Chimie 1 (Ch; 1) :
structure et propriétés de la matière Mécanique 1 (Mé. 1) :
cinématique Electricité 1 (El. 1) : lois générales en courant
continu |
(a) 14 h 8 h 16 h |
Unités
spécifiques
Chimie 2 (Ch. 2) : oxydoréduction Chimie 3 (Ch. 3) : acidité, basicité ; pH Chimie 4 (Ch. 4) : chimie organique Chimie 5 (Ch. 5) : combustion de composées
organiques Mécanique 2 (Mé. 2) :
équilibre d'un solide soumis à deux forces Mécanique 3 (Mé. 3) :
moment d'un couple Mécanique 4 (Mé 4) :
grandeurs physiques élémentaires Mécanique 5 (Mé. 5) :
pression Acoustique : (Ac.) :
ondes sonores Electricité 2 (El. 2) : courant alternatif
sinusoïdal monophasé, puissance et énergie Thermique 1 (Th. 1) : thermométrie Thermique 2 (Th. 2) : propagation de la chaleur et
isolation thermique Thermique 3 (Th. 3) : température et propagation
de la chaleur. |
6 h 4 h 4 h 4 h 10
h 6 h 10
h 4 h 4 h 8 h
(a) 4 h 4 h 6 h |
(a) Cette unité ne
doit pas être traitée de façon isolée. Le temps à consacrer à son contenu est
inclus dans celui des autres unités.
(b) Cette durée peut
être réduite pour les CAP du secteur 3.
Les choix opérés dans les énoncés des compétences
mentionnées dans le référentiel de certification supposent une pratique
courante d'activités expérimentales par les élèves eux-mêmes lors de séances de
travaux pratiques ou en classe laboratoire. Les compétences expérimentales
attendues sont :
-
être capable de mettre en œuvre un protocole
expérimental,
-
être capable de rendre compte oralement ou par écrit
d'une activité expérimentale et de son exploitation,
-
respecter les règles de sécurité.
Si, pour des raisons matérielles ou de sécurité,
certaines expériences ne peuvent pas être réalisées par les élèves, le
professeur pourra les réaliser lui-même ou utiliser tout support audiovisuel
adéquat.
L'utilisation des calculatrices scientifiques est
recommandée ; celle des ordinateurs et des interfaces doit être encouragée, en
particulier en travaux pratiques.
Une concertation forte est nécessaire entre les
enseignants du domaine professionnel et ceux de mathématiques-physique-chimie.
PLACE DE L'ENSEIGNEMENT DES
MATHÉMATIQUES, DE LA PHYSIQUE E DE LA CHIMIE DANS UNE PÉDAGOGIE DE L'ALTERNANCE
Le référentiel de certification
de mathématiques et physique-chimie a été élaboré
avec le souci de permettre une liaison étroite entre l'enseignement
professionnel et l'enseignement général. La formation en milieu professionnel
doit mettre en évidence la complémentarité des enseignements dispensés.
Suivi des activités en
entreprise
Le suivi des activités dans l'entreprise se fait par
l'ensemble de l'équipe pédagogique, et implique donc le professeur de
mathématiques et de physique -chimie. Cette nécessaire
implication lui permet un meilleure intégration à la formation globale de
l'élève, et favorise la mise en œuvre d'une pédagogie de l'alternance.
Structure de la visite en
entreprise
La visite en entreprise n'est pas conduite de façon
aléatoire. Préparée en concertation par l'équipe pédagogique, elle est structurée
pour permettre le repérage d'un maximum d'informations. Une stratégie de la
visite s'appuie sur trois phases fondamentales :
-
la connaissance de l'entreprise : date de création,
zone d'implantation, niveaux de qualification, activités ;
-
l'observation du métier tel qu'il est réellement
pratiqué ;
-
l'analyse de l'élève dans l'exercice du métier :
structuration des activités, savoir-faire et connaissances indispensables
technologiques ou générales, rythmes propres, niveaux de compétence.
Place des mathématiques, de la physique et de la chimie
Lorsqu'au retour d'une
période de formation en entreprise, un élève est interrogé sur la présence des
mathématiques, de la physique ou de la chimie dans ses activités, sa réponse
est généralement négative. C'est pourquoi, afin de sensibiliser et d'éclairer
l'élève, il paraît important de lui fournir des outils lui permettant de mieux
observer l'entreprise. Par exemple, avant le départ en formation en entreprise,
le professeur de mathématiques et sciences physiques peut donner un
questionnaire ou une fiche d'activités à compléter (voir exemples ci-dessous) ;
ces outils sont construits en fonction de la progression en mathématiques et physique-chimie, en en concertation avec les enseignants ou
formateurs du domaine professionnel.
Dans ces conditions, tout au long de la formation en
entreprise, l'élève a les moyens, au travers de son
activité professionnelle, de prendre conscience des multiples modèles
scientifiques sous-jacents. Pour renforcer l'impact de ces observations, une
exploitation de ce questionnaire en cours de mathématiques, de physique ou de
chimie peut-être conduite par le professeur.
Exemple de
questionnaire ou de fiche d'activité à compléter
Questions |
Réponses (oui/non) |
Si "oui", dans
quelle condition ? |
Avez-vous fait des calculs de longueurs ? |
Oui |
J'ai calculé le périmètre de la cuisine dont je
devais tapisser les murs. |
Avez-vous fait des calculs d'aires ? |
|
|
Avez-vous fait des calculs de volumes ? |
|
|
Avez-vous décodé des notices techniques ? |
|
|
Avez-vous réalisé des traçages ? |
|
|
Avez-vous consulté un plan ? |
|
|
Avez-vous utilisé des appareils de mesure ? |
|
|
Avez-vous effectué des mélanges, des dosages ? |
|
|
En rouge, une réponse possible
Tableau de correspondance des unités usuelles
Grandeur |
Unité SI |
Unité usuelle |
Correspondance |
Autres unités rencontrées |
Correspondance |
Pression |
Pa |
Bar |
1 bat = 100 000 Pa |
mm de mercure, torr PSI |
1 mm = Hg = … 1 torr = … 1 PSI = … |
Température |
|
|
|
|
|
Poids |
|
|
|
|
|
Masse |
|
|
|
|
|
Volume |
|
|
|
|
|
Débit massique |
|
|
|
|
|
Débit volumique |
|
|
|
|
|
Vitesse |
|
|
|
|
|
En rouge, une réponse possible
III RÉFÉRENTIEL DE MATHÉMATIQUES
Les tableaux qui suivent se
présentent sous la forme de quatre colonnes :
-
la première indique les domaines de connaissances
concernés ;
-
la deuxième indique les compétences exigibles ;
-
les deux dernières concernent l'évaluation ;
-
la troisième précise les conditions dans lesquelles
les compétences et connaissances sont évaluées,
-
la quatrième donne des exemples d'activités
permettant l'évaluation. Ces exemples ne présentent en aucun cas un caractère
obligatoire ou exhaustif. Ils concernent l'ensemble du chapitre considéré.
1.
Calcul
numérique
C'est la maîtrise des
mécanismes élémentaires indiqués dans le référentiel qui est importante, toute
virtuosité technique est exclue.
Ce chapitre liste des
capacités de calcul élémentaire requises au niveau CAP. Toutefois, ces calculs
numériques n'ont de sens que s'ils sont finalisés. Ils ne sauraient être
évalués séparément du contexte d'un problème ou d'une situation
professionnelle.
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Opérations sur les nombres en écriture décimale Calcul mental |
Effectuer soit mentalement, soit "à la
main", soit à la calculatrice, un calcul isolé sur des nombres en
écriture décimale faisant intervenir l'une au moins des opérations : -
addition ; -
soustraction ; -
multiplication ; -
division à 10n près. Convertir une mesure exprimée dans le système
décimal en une mesure exprimée dans le système sexagésimal, et
réciproquement. |
Pour un calcul "à la main", les
écritures des nombres donnés ont au plus huit chiffres, dont trois au plus
pour la partie décimale. n est un nombre entier
relatif donné. |
-
Calcul de la durée d'un trajet (dans le système
décimal) et conversion en heure, minute, seconde. -
Calcul de la durée d'exécution d'une tâche. -
Rangement des températures dans l'ordre croissant
ou décroissant. -
Calcul de pourcentages. -
Calcul issu d'une proportionnalité. -
Calcul d'un coût, d'un prix, d'une remise, d'un
taux. -
Conversion de monnaies. -
Calcul d'un indice simple. -
Calcul d'un prix ou d'une quantité à une date
donnée, à l'aide d'un indice. -
Conversion d'une mesure d'angle de degré-minute-seconde en degré décimal, et réciproquement. |
Comparaison de nombres en écriture décimale |
Ordonner une liste de nombres en écriture
décimale. |
Les écritures des nombres donnés ont au plus huit chiffres,
dont trois au plus pour la partie décimale. La liste comporte au plus six
nombres. |
|
Puissances d'exposant entier relatif |
Calculer le carré d'un nombre en écriture
décimale. Calculer le cube d'un nombre en écriture décimale. |
La valeur absolue du nombre, de quatre chiffres au
plus, est comprise entre 0,001 et 1000. La valeur absolue du nombre, de trois chiffres au
plus, est comprise entre 0,01 et 100. |
|
Notation scientifique d'un nombre en écriture
décimale |
Passer, pour le résultat d'un calcul, de
l'affichage de l'écran de la calculatrice en mode scientifique, à la notation
scientifique, puis à l'écriture décimale du nombre correspondant. |
Il s'agit de transcrire le résultat brut lu sur la
calculatrice de la notation scientifique (de la forme, a. 10n avec
a nombre en écriture décimale et 1≤a<10 et n nombre entier relatif)
à l'écriture décimale. |
|
Ordre de grandeur d'un résultat Valeur arrondie |
Utiliser la notation scientifique pour obtenir un
ordre de grandeur. Déterminer la valeur arrondie à 10n
d'un nombre en écriture décimale. |
n est un nombre entier
relatif donné. |
|
Racine carrée Notation |
Déterminer, en écriture décimale, la valeur exacte
ou une valeur arrondie de la racine carrée d'un nombre positif. |
La lecture de l'affichage de la calculatrice
permet d'obtenir la valeur exacte ou une valeur arrondie de la racine carrée. |
(suite)
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Nombres en écriture fractionnaire |
Déterminer, écriture décimale, la valeur exacte ou
une valeur arrondie du nombre Calculer un produit de la forme : c x Utiliser l'égalité : = Utiliser l'équivalence : = équivaut à ad = bc |
a et b sont des nombres en écriture décimale; et b est non nul. a, b, c sont des nombres en
écriture décimale, et b est non
nul. a, b et c sont des nombres
en écriture décimale, et b et c sont non nuls. a, b, c, d, sont des nombres en écriture
décimale, et c et d sont non nuls. |
Pour
le chapitre spécifique 6 : -
Calcul de la longueur du périmètre de figures
usuelles. -
Calcul de l'aire de figures usuelles. -
Calcul du volume de solides usuels. Pour
le chapitre spécifique 8 : -
Calcul de longueurs à l'aide de la propriété de
Thalès ou de Pythagore. Pour
le chapitre spécifique 11 : -
Calcul d'un intérêt simple, d'une valeur acquise. -
Calcul de la durée de placement d'un capital. |
Valeur numérique d'une expression littérale |
Calculer la valeur numérique exacte ou une valeur arrondie
d'une expression littérale en donnant aux lettres (variables) des valeurs
numériques en écriture décimale. |
Les relations mentionnées dans le formulaire de
mathématiques et dans le référentiel de certification de physique-chimie
sont utilisées. Les écritures des nombres donnés ont au plus huit
chiffres, dont trois au plus pour la partie décimale. |
2.
Repérage
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Tableaux numériques |
Lire un tableau numérique : -
tableau simple ; -
tableau à double entrée. |
Lecture directe : le tableau comporte au plus six
lignes et/ou six colonnes. |
-
Lecture d'un tableau statistique. -
Lecture d'un tableau de proportionnalité. -
Lecture d'une règle ou d'un thermomètre gradué. -
Lecture d'un axe chronologique. -
Exploitation d'abaques pour machines-outils. -
Tracé de caractéristiques à partir de tableaux de
mesures (courbe courant-tension, etc.). -
Lecture du pied à coulisse au dixième. -
Lecture et exploitation de la courbe représentant
le moment du couple d'un moteur en fonction de sa vitesse de rotation. |
Repérage sur un axe |
Utiliser une graduation sur un axe pour repérer
des points : connaissant l'abscisse, placer le point, le point étant placé,
donner son abscisse. |
L'axe est donné et gradué : la graduation comporte
les unités chiffrées, et éventuellement les dixièmes repérés. Les abscisses des points correspondent aux
graduations de l'axe. |
|
Repérage dans un plan |
Dans un plan muni d'un repère orthogonal : -
donner les coordonnées d'un point du plan ; -
placer un point du plan connaissant ses
coordonnées ; -
déterminer graphiquement l'ordonnée d'un point
d'une courbe, son abscisse étant donnée ; -
déterminer graphiquement l'abscisse d'un point
d'une courbe, son ordonnée étant donnée. |
Les axes du repère sont donnés et gradués, les
unités sont chiffrés et des dixièmes éventuellement
repérés. Les coordonnées des points sont des couples qui
correspondent aux graduations repérées. |
|
Représentations graphiques |
Placer, dans un plan rapporté à un repère
orthogonal, des points dont les coordonnées sont des
couples de nombres en écriture décimale présentés dans un tableau. |
Les axes du repère sont donnés et gradués, les
unités sont chiffrées et des dixièmes éventuellement repérés. Dix couples au plus de nombres en écriture
décimale sont donnés. |
3.
Proportionnalité
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Suites de nombres proportionnelles |
Traiter des problèmes relatifs à deux suites de
nombres proportionnelles. Traiter des problèmes de pourcentages de la vie
courante et de la vie professionnelle. |
Etant donné un tableau numérique incomplet lié à
deux suites de nombres proportionnelles : -
trouver le coefficient de proportionnalité ; -
compléter le tableau. Connaissant deux des données suivantes : -
pourcentage ; -
grandeur initiale ; -
grandeur finale ; -
calculer la troisième. |
-
Lecture d'un tableau statistique. -
Lecture d'un tableau de proportionnalité. -
Lecture d'une règle ou d'un thermomètre gradué. -
Lecture d'un axe chronologique. -
Exploitation d'abaques pour machines-outils. -
Tracé de caractéristiques à partir de tableaux de
mesures (courbe courant-tension, etc.). -
Lecture du pied à coulisse au dixième. -
Lecture et exploitation de la courbe représentant
le moment du couple d'un moteur en fonction de sa vitesse de rotation. |
Fonction linéaire |
Vérifier qu'une situation est du type linéaire
soit : -
en calculant le coefficient de proportionnalité ; -
en trouvant une expression algébrique ; -
en réalisant une représentation graphique. |
La situation est donnée sous la forme : -
d'un tableau de nombres à deux lignes ou deux
colonnes ; -
d'une représentation graphique ; -
d'une expression algébrique du type : y = a x, où a est un nombre non nul donné en écriture décimale. |
|
Une situation de type linéaire étant proposée par
l'une des formes suivantes : -
tableau numérique ; -
expression algébrique ; -
passer d'un mode de représentation à chacun des
deux autres. |
Les axes sont gradués. Les conditions sont celles du chapitre "2.
Repérages" |
4.
Situation du
premier degré
Les compétences de ce chapitre
ne sauraient être évaluées séparément du contexte du domaine professionnel, de
la vie courante ou des autres disciplines.
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Equations du premier degré à une inconnue. |
Résoudre algébriquement une équation du type : ax + b = c où x est l'inconnue. |
-
a, b et c sont des nombres en écriture décimale,
et a est non nul. |
-
Calcul des dimensions d'un rectangle connaissant
son périmètre et une relation entre les dimensions. -
Résolution de problèmes de proportionnalité, de
géométrie, etc. |
Problèmes |
Résoudre un problème dont la formation conduit à
une équation du type précisé ci-dessus. |
-
Toutes les indications concernant la marche à suivre
sont données. |
5.
Statistique
descriptive
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Statistique à un caractère (ou à une variable) |
-
Identifier, dans une situation simple, le caractère
étudié et sa nature : qualificatif ou quantitatif. -
Lire les données d'un
série statistique présentées dans un tableau ou représentées graphiquement. -
Déterminer le maximum, le minimum d'une série
numérique. -
Calculer des fréquences. -
Représenter par un diagramme en bâtons ou en
secteurs circulaires une série donnant les valeurs d'un caractère qualitatif. -
Calculer la moyenne d'une série statistique à
partir de la somme des données et du nombre d'éléments de la série. -
Déduire de la moyenne d'une série, celle de la
série obtenue en multipliant tous les termes par un même nombre (resp. en
joutant un même nombre à tous les termes). |
-
Les caractères qualitatifs ont au plus 6
modalités. Les tableaux fournissent selon les cas : . les données une par une, . des effectifs ou des fréquences, par classe ou
par modalité. Les représentations graphiques sont : . le diagramme en bâtons, . le diagramme à secteurs circulaires, . l'histogramme (à pas égaux). Pour le tracé d'un diagramme en secteurs
circulaires, on se limitera à 4 classes ou 4 modalités. -
Dans le cas d'un petit nombre de données (moins de
10) dont l'écriture en base 10 comporte au plus deux chiffres, la moyenne est
directement calculée par l'élève (avec sa calculatrice). -
Les séries quantitatives dont les termes peuvent
prendre plus de 5 valeurs pourront être résumées par moyenne, maximum,
minimum. Calculs de la moyenne de nombres à n chiffres, n<8, dont les n-1 premiers chiffres sont identiques. Calculs de la moyenne de
nombres inférieurs à 1 dont l'écriture comporte un chiffre après la virgule. |
-
Etude de la pyramide des âges d'un ou deux pays. -
Résultats d'enquêtes parues dans la presse
récente. -
Etude de données climatiques (pluviométrie,
température). -
Etude de données biologiques : groupes sanguins. -
Etude de durées de conversations téléphoniques ou
de temps de transports, ou de durées d'attentes ou de temps passé devant la
télévision, etc. -
Calcul de la cote moyenne d'une pièce mécanique
usinée. -
Calcul de la durée moyenne d'immobilisation d'une
machine outil. -
Calculs de moyenne lorsqu'on change d'unité (de km en m, de franc en €uro, etc). |
Croisement de deux caractères qualitatifs |
-
Lire les données d'un tableau à double entrée donnant des effectifs. -
Calculer et interpréter les sommes par lignes ou par
colonnes d'un tableau d'effectifs. -
Calculer des fréquences. |
-
Se limiter à des tableaux à deux lignes et moins
de six colonnes, ou deux colonnes et moins de 6 lignes. |
-
Tableaux liés à des élections. -
Tableaux de données économiques. |
6.
Géométrie plane
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Segment |
Construire un segment de même longueur qu'un
segment donnée. |
Les tracés peuvent être exécutés sans explication,
ni justificatif. |
-
Construction de figures de la vie courante ou
professionnelle, telles que : carreau, vitre, mosaïque, patron de robe,
relevé de cadastre, etc. -
Construction d'un logo d'entreprise par symétrie
centrale ou orthogonale. -
Observation et description d'une charpente, d'une
photographie représentant l'entrée d'un monument, la façade d'un édifice. -
Tracé de l'axe de symétrie d'une figure plane
représentant un objet usuel (balle, raquette de tennis). -
Calcul de l'aire d'une surface à peindre ou à
tapisser. -
Lecture et exploitation de dessins techniques
(plans ou schémas de pièces, d'édifices, etc.) -
Calcul de la longueur de la piste d'un stade. -
Calcul de la longueur d'une courroie. -
Représentation de la section droite d'un vérin. |
Parallélisme |
Tracer la parallèle à une droite passant par un
point donné. |
Les tracés peuvent être exécutés sans explication,
ni justificatif. |
|
Orthogonalité |
Tracer la perpendiculaire à une droite donnée
passant par un point donné. |
Les tracés peuvent être exécutés sans explication,
ni justificatif. |
|
Angle |
Déterminer une mesure d'un angle donné. Tracer un angle de mesure donnée, le sommet et un
côté étant donnés. Construire un angle de même mesure qu'un angle
donné. |
La mesure en degré est un nombre entier et le
rapporteur est utilisé. La mesure en degré est un nombre entier et le
rapporteur est utilisé. Les tracés et constructions doivent rester
apparents. |
|
Médiatrice d'un segment |
Construire à la règle et au compas la médiatrice
d'un segment donné. |
Les tracés et constructions doivent rester
apparents. |
|
Bissectrice d'un segment |
Construire à la règle et au compas la bissectrice
d'un segment donné. |
Les tracés et constructions doivent rester
apparents. |
|
Symétrie centrale Symétrie orthogonale |
Construire l'image d'une figure simple par : -
symétrie centrale, -
symétrie orthogonale par rapport à une droite. Identifier dans une figure donnée : -
la perpendicularité de deux droites, -
le parallélisme de deux droites. |
Les figures à prendre en compte sont constituées
de quatre segments au plus, d'un cercle ou de deux arcs de cercle. Le centre de la symétrie est donné. La droite est donnée. L'exigence porte sur la reconnaissance et l'utilisation
de l'une, au moins, des figures suivantes :
ÉQUERRE AXE DE
SYMÉTRIE |
|
Axe de symétrie |
Identifier dans une figure donnée une droite comme
axe de symétrie. |
La droite est tracée, la justification n'est pas
demandée. |
|
Centre de symétrie |
Identifier dans une figure donnée un point comme
centre de symétrie. |
Le point est placé, la justification n'est pas
demandée. |
(suite)
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Polygones usuels |
Identifier dans une figure donnée : -
un triangle isocèle ; -
un triangle équilatéral ; -
un triangle rectangle ; -
un rectangle ; -
un losange ; -
un parallélogramme ; Identifier dans une figure donnée : -
un carré ; -
un trapèze ; Tracer : -
un triangle connaissant les longueurs des trois
côtés ; -
un carré connaissant la longueur d'un côté ; -
un rectangle connaissant sa longueur et sa
largeur. |
La situation est donnée sous la forme d'une
figure, cotée ou non, et les côtés du polygone à identifier sont tracés. Le polygone à identifier est isolé ou non. La justification se fait par l'une des propriétés
suivantes : -
deux côtés de même longueur ; -
deux angles de même mesure ; -
existence d'un axe de symétrie ; -
trois côtés de même longueur ; -
trois angles de même mesure ; -
un angle du triangle est droit ; -
le triangle est inscrit dans un cercle, et son
hypoténuse en est un diamètre ; -
quadrilatère ayant trois angles droits ; -
propriétés des diagonales ; -
quadrilatère dont les quatre côtés ont la même
longueur ; -
propriétés des diagonales ; -
quadrilatère dont les côtés ont des supports
parallèle deux à deux ; -
propriété des diagonales. La justification se fait par l'une des propriétés
suivantes : -
parallélogramme dont les diagonales sont
perpendiculaires et de même longueur, -
rectangle dont deux côtés consécutifs ont même
longueur, -
losange ayant un angle droit ; -
quadrilatère non croisé ayant deux côtés à
supports parallèles. Le tracé peut être exécuté sans explication, ni
justificatif. |
-
Construction de figures de la vie courante ou
professionnelle, telles que : carreau, vitre, mosaïque, patron de robe,
relevé de cadastre, etc. -
Construction d'un logo d'entreprise par symétrie
centrale ou orthogonale. -
Observation et description d'une charpente, d'une
photographie représentant l'entrée d'un monument, la façade d'un édifice. -
Tracé de l'axe de symétrie d'une figure plane
représentant un objet usuel (balle, raquette de tennis). -
Calcul de l'aire d'une surface à peindre ou à
tapisser. -
Lecture et exploitation de dessins techniques
(plans ou schémas de pièces, d'édifices, etc.) -
Calcul de la longueur de la piste d'un stade. -
Calcul de la longueur d'une courroie. -
Représentation de la section droite d'un vérin. |
Cercle |
Tracer un cercle de rayon donné et le centre
donné. Construire un cercle dont un diamètre est donné
sous la forme d'un segment. Tracer un cercle passant par deux points donnés et
de rayon donné. |
Le tracé peut être exécuté sans explication, ni justificatif. Les tracés et constructions doivent rester
apparents. Les tracés et constructions doivent rester
apparents. |
(suite)
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Unités de longueur Unités d'aire |
Convertir, en utilisant les unités du système
métrique, des longueurs et des aires. Déterminer la longueur d'un segment en utilisant
une règle graduée. Calculer les longueurs des périmètres et les aires
des surfaces des figures suivantes : -
triangle ; -
carré ; -
rectangle ; -
trapèze ; -
disque ; -
parallélogramme. |
Les exigences concernant les données permettant le
calcul sont les mêmes que dans le chapitre 1. "calcul numérique". La précision exigée est celle donnée par
l'instrument. Les formules à utiliser sont celles du formulaire. |
-
Construction de figures de la vie courante ou
professionnelle, telles que : carreau, vitre, mosaïque, patron de robe,
relevé de cadastre, etc. -
Construction d'un logo d'entreprise par symétrie
centrale ou orthogonale. -
Observation et description d'une charpente, d'une
photographie représentant l'entrée d'un monument, la façade d'un édifice. -
Tracé de l'axe de symétrie d'une figure plane
représentant un objet usuel (balle, raquette de tennis). -
Calcul de l'aire d'une surface à peindre ou à
tapisser. -
Lecture et exploitation de dessins techniques
(plans ou schémas de pièces, d'édifices, etc.) -
Calcul de la longueur de la piste d'un stade. -
Calcul de la longueur d'une courroie. -
Représentation de la section droite d'un vérin. |
Distance d'un point à une droite |
Construire le projeté orthogonal d'un point sur
une droite. Mesurer la distance d'un point à une droite. Tracer une parallèle à une droite donnée passant
par un point situé à une distance donnée de celle-ci. |
Le point n'appartient pas à la droite. Les tracés et constructions doivent rester
apparents. La précision exigée est celle donnée par
l'instrument. Le point n'appartient pas à la droite. Les instruments à utiliser sont laissés au choix. |
7.
Géométrie dans
l'espace
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Les solides usuels |
Identifier : -
un cube ; -
un parallélépipède rectangle ; -
un cylindre de révolution ; -
une sphère ; -
un cône de révolution. |
L'identification se fait sans justification. Les solides élémentaires ne sont pas imbriqués,
mais peuvent constituer une partie d'un solide plus complexe. Le travail est à réaliser sur des solides isolés
ou représentés en trois dimensions et côtés. |
-
Etude de solides usuels : verre, abat-jour, cube
de glace, bouteille, boîte de conserve. -
Calcul du volume de liquide contenu dans un
biberon. -
Réalisation de patrons de solides usuels. -
Identification de solides élémentaires dans des
jouets d'enfants. -
Calcul du volume d'eau nécessaire pour remplir une
piscine. -
Réalisation d'un cube, d'un parallélépipède
rectangle ou d'un cylindre de révolution à partir de son développement. -
Calcul de volumes de réservoirs, de cuves de
stockage, ou de réacteur. |
Unités d'aire, de volume |
-
Convertir, en utilisant les unités du système
métrique, des aires et des volumes. Calculer l'aire et le volume : -
d'un cube ; -
d'un parallélépipède rectangle ; -
d'un cylindre de révolution. |
Les exigences concernant les données permettant le
calcul sont les mêmes que dans le chapitre 1. "calcul numérique". Le calcul est à faire sur un solide isolé dont la
nature est précisée. Les formules à utiliser sont celles du formulaire. |
8.
Propriétés de
Pythagore et de Thalès
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Propriété de Pythagore et réciproque |
Calculer la longueur d'un côté d'un triangle
rectangle Identifier un triangle rectangle. |
Les longueurs de deux côtés sont données, la
longueur du troisième se calcule en utilisant la propriété de Pythagore. Les longueurs des trois côtés sont données. L'identification
se fait à l'aide de la réciproque de la propriété de Pythagore. |
-
Calcul d'une longueur à partir d'une figure
géométrique. -
Calcul d'une cote à partir d'un dessin technique. |
Propriété de Thalès
relative au triangle |
Calculer la longueur d'un segment. - Agrandissement ou réduction d'un objet. |
La propriété de Thalès relative au triangle est
utilisée. La configuration géométrique fournie ou mise en
évidence est la suivante : (D1)
(D2) Les droites (D1) et (D2) sont parallèles. |
-
Agrandissement ou réduction d'un objet. |
9.
Relations
trigonométriques dans le triangle rectangle
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Relations trigonométriques dans le triangle
rectangle |
Donner la valeur exacte ou une valeur arrondie du
cosinus, du sinus ou de la tangente d'un angle donné. Donner à partir du cosinus, du sinus ou de la tangente
d'un angle une mesure exacte ou arrondie de cet angle. Déterminer dans un triangle rectangle la mesure
d'un angle. Déterminer dans un triangle rectangle la longueur
d'un côté. |
La mesure de l'angle est donnée en degré. Le résultat est obtenu à l'aide d'une
calculatrice. La valeur du cosinus, du sinus ou de la tangente
est un nombre en écriture décimale. Le résultat est demandé en degré. Le résultat est obtenu à l'aide d'une
calculatrice. Les longueurs de deux côtés sont données par des
nombres en écriture décimale. Le résultat est demandé en degré. La longueur d'un côté et la mesure, en degré, d'un
angle aigu sont données. |
-
Etude de pièces mécaniques à usiner. -
Calculs de cotes. -
Calcul de la pente d'une route de montagne
connaissant le dénivelé et la distance parcourue. |
10.
Calculs
commerciaux
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Formation des prix |
Déterminer dans le cadre de situations
professionnelles : -
un coût ; -
un prix ; -
une remise ; -
une taxe ; -
une marge ; -
un taux ; -
un coefficient multiplicateur. |
Le calcul se fait en mettant en œuvre : -
soit des pourcentages directs, -
soit des coefficients multiplicateurs. Deux bonifications en prix au plus sont exigibles.
Taux de marque, taux d'une taxe, sont des notions connues. Si la situation utilise un vocabulaire spécifique,
la définition en sera donnée. Tous les éléments nécessaires aux calculs sont
énumérés de façon claire, afin d'éviter toute ambiguïté. |
-
Calculs permettant de compléter une facture, un
bon de commande. -
Réalisation d'un devis approximatif de matériel. -
Problèmes tirés du domaine professionnel ou de la
vie courante. |
11.
Intérêts
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Intérêts simples |
Calculer : -
Le montant d'un intérêt simple ; -
Une valeur acquise. Déterminer : -
un taux annuel de placement ; -
la durée de placement ; -
le montant du capital placé. |
Les différents éléments permettant les calculs
sont donnés (capital, taux annuel, durée). La durée de placement, exprimée en jours,
quinzaines ou mois est inférieure à l'année. Il s'agit de retrouver chacun des éléments à
partir de deux autres et de l'intérêt. Toute méthode de résolution est acceptée. Retrouver le montant du capital placé à partir de
la valeur acquise, du taux annuel et de la durée de placement n'est pas une
exigence. |
-
Calculs utilisant les placements existant sur le
marché, en les simplifiant éventuellement (livret A, PEP, etc.) -
Représentation graphique du montant d'un intérêt
en fonction de la durée de placement. -
Exploitation de graphiques représentant le montant
d'un intér |
IV - RÉFÉRENTIEL DE PHYSIQUE-CHIMIE
Les tableaux qui suivent se
présentent sous la forme de quatre colonnes :
-
la première indique les domaines de connaissances
concernés ;
-
la deuxième indique les compétences exigibles ;
-
les deux dernières concernent l'évaluation ;
-
la troisième précise les conditions dans lesquelles
les compétences et connaissances sont évaluées ;
-
la quatrième donne des exemples d'activités
permettant l'évaluation. Ces exemples ne présentent en aucun cas un caractère
obligatoire ou exhaustif. Ils concernent l'ensemble du chapitre considéré.
Sécurités : prévention des risques chimiques et électriques
Le respect des règles de
sécurité dans la mise en œuvre d'un protocole expérimental par le candidat est
l'objectif majeur de cette unité. En conséquence, les compétences de cette
unité commune ne sauraient être évaluées séparément du contexte d'une autre
unité.
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Risques chimiques |
Identifier et nommer les symboles de danger
figurant sur les emballages de produits chimiques. Mettre en œuvre les procédures et consignes de
sécurité établies. Exploiter un document relatif à la sécurité. |
Les symboles exigibles sont : explosif, comburant,
inflammable, corrosif, irritant, nocif, toxique, amiante en fonction des
normes en vigueur. Les règles sont fournies dans le protocole
expérimental. Il s'agit d'indiquer, dans des cas simples, et à
partir d'informations fournies, comment se protéger, protéger autrui, et
protéger l'environnement. |
-
Lecture d'étiquettes de produits chimiques. -
Dilution d'un acide ou d'une base. -
Respect des règles de sécurité dans les
expériences de Chimie. -
Utilisation d'un équipement adapté : blouse,
gants, lunettes, masque, bouchons d'oreille, chaussures de sécurité, pinces,
hotte. -
Respect des règles de sécurité et utilisation de
systèmes de sécurité dans la réalisation de montages électriques, -
Relevé d'informations sur la plaque signalétique
d'un appareil électrique, et exploitation vis à vis de la sécurité. -
Recherche d'informations au sujet du point éclair,
de la limite inférieure d'explosivité, de la température d'auto-inflammation, ou des dangers liés à l'électricité
statique. |
Risques électriques |
Identifier et nommer différents systèmes de
sécurité dans un schéma ou un montage. Mettre en œuvre les procédures et consignes de
sécurité établies. Exploiter un document relatif à la sécurité. |
Les systèmes de protection exigibles sont :
fusible, disjoncteur différentiel, transformateur d'isolement, prise de
terre. Les règles sont fournies dans le protocole
expérimental. Il s'agit d'indiquer, dans des cas simples, et à
partir d'informations fournies, comment se protéger, protéger autrui, et
protéger l'environnement. |
Chimie 1 (Ch. 1) : structure et propriétés de la matière
Le respect des règles de
sécurité dans la mise en œuvre d'un protocole expérimental par le candidat est
l'objectif majeur de cette unité. En conséquence, les compétences de cette
unité commune ne sauraient être évaluées séparément du contexte d'une autre
unité.
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Classification périodique des éléments |
Ecrire le symbole d'un élément dont le nom est
donné et réciproquement. Mettre en évidence des propriétés communes à
certains éléments d'une même colonne de la classification périodique. |
Le tableau de la classification périodique
, ou un extrait de celui-ci est donné. Les expériences sont réalisées
ou sont décrites sur un document à exploiter. |
-
-
-
-
Cycle du cuivre, du souffre -
Réaction entre un métal alcalin et l'eau. -
Exploitation de documents sur les halogènes -
Exploitation de la notation A X et de la
Z Neutralité
électrique d'un atome pour trouver ses constituants. -
Construction à l'aide de boîtes de modèles moléculaires
de molécules choisies dans le domaine professionnel ou de la vie courante. -
Représentation d'une molécule par un schéma. -
Fusion de la glace. -
Solidification de l'eau salée. -
Réactions de précipitation permettant d'identifier
les ions Ag+, Ca2+, Cu2+,
Fe2+, Fe3+, Zn2+, Cl-, SO42- -
Utilisation de papiers indicateurs de nitrate. -
Interprétation du changement de couleur d'une
solution contenant des ions MnO4-. -
Etude de la dureté des eaux. -
Test de reconnaissance de l'ion sodium à la
flamme? -
Préparation d'une solution à partir d'une solution
mère. -
Dissolution dans un volume donné de solvant d'une
masse donnée d'un solide. -
Utilisation de diagrammes de refroidissement ou
d'échauffement en relation avec le dossier professionnel. -
Préparation d'une solution de concentration
donnée. |
Atomes |
Nommer les constituants de l'atome. Déterminer une masse molaire atomique. |
La notation AX est exigible. La connaissance
Z des modèles de BOHR ou de LEWIS n'est
pas exigible. Le tableau de la classification périodique, ou un
extrait de celui-ci est donné. |
|
Molécules |
Identifier les atomes constitutifs d'une molécule.
Représenter quelques molécules par leur modèle moléculaire. Calculer une masse molaire moléculaire. |
Les formules brutes des molécules sont données.
Les modèles atomiques à fournir sont : H, O, N, C, CI. Les représentations des molécules exigibles sont
celles de : H2, HCI, H2O, O2, CH4,
C2H6, C3H8, C4H10,
C6H14, C2H5OH. La notion de mole n'est pas exigible. Les masses molaires atomiques sont lues sur la
classification périodique ou données. |
|
Ions |
Identifier un ion en solution aqueuse |
L'identification se fait en utilisant soit : -
les réactions de précipitation ; seule la
reconnaissances des ions Ag+, Ca2+,
Cu2+, Fe2+, Fe3+, Zn2+, Cl-,
SO42- est exigible. Un tableau des réactions caractéristiques est
fourni. -
un test à la flamme ; un tableau des couleurs de
flamme caractéristiques est fourni. -
le changement de couleur d'une solution aqueuse ;
seule la reconnaissance de l'ion MnO4- est exigible. |
|
Changements d'état |
Identifier différents types de changements d'état. |
Un diagramme de refroidissement ou d'échauffement
d'un corps pur à pression constante permettant l'identification de la fusion,
de la solidification, de la vaporisation, ou de la condensation est fourni. |
|
Concentration massique et concentration molaire
d'une solution. |
Préparer une solution de concentration molaire
donnée. Calculer la concentration massique ou molaire
d'une solution. |
Le protocole expérimental est fourni. Toutes les indications utiles sont fournies. |
Chimie 2 (Ch. 2) : oxydoréduction
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Phénomènes d'oxydoréduction |
Réaliser une réaction d'oxydoréduction. Reconnaître l'oxydant et le réducteur dans une
réaction d'oxydoréduction. Prévoir l'action des acides non oxydants sur
certains métaux. |
Le protocole expérimental est fourni. L'interprétation de l'oxydoréduction se fait à
partir d'une expérience réalisée par le candidat ou à partir d'un document. Une classification électrochimique simplifiée est
fournie. Une classification électrochimique simplifiée est
fournie. |
-
Réaction entre une solution de sulfate de cuivre
(II) et une lame de fer. -
Classement expérimental de couples ion/métal. -
Etude de documents concernant la protection
anodique. -
Réalisation d'une électrolyse. -
Examen de la constitution de piles dans le but de
décrire leur fonctionnement. -
Observation du comportement de métaux en présence
d'un acide. -
Etude de l'influence du milieu sur la corrosion
des métaux. -
Etude du comportement de produits familiers
(cosmétiques, eau oxygénée, eau de Javel…) vis à vis des réactions d'oxydoréduction. |
Chimie 3 (Ch. 3) : acidité, basicité ; pH
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Solution acide, neutre ou basique |
Reconnaître le caractère acide, basique ou neutre d'une
solution. Décrire l'évolution du pH par dilutions
successives d'une solution donnée. |
La reconnaissance se fait : -
soit expérimentalement ; le protocole expérimental
est donné ; le papier pH, un stylo-pH, ou les
indicateurs colorés sont utilisés ; -
soit à partir d'une expérience décrite ; toutes
les indications utiles sont fournies. Le protocole expérimental est donné. La
solution peut être acide ou basique. |
-
Dilution au dixième, centième ou millième d'une
solution de concentration connue : mesure du pH des solutions. -
Utilisation de solutions employées dans le domaine
professionnel ou la vie courante, telles que acide chlorhydrique, soude,
soda, eau du robinet, vinaigre, shampooing. |
Chimie 4 (Ch. 4) : chimie organique
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Composés organiques |
Identifier un composé organique. Identifier la présence de carbone et d'hydrogène
dans les composés organiques par combustion dans l'air. Ecrire la formule développée d'un composé
organique à partir de sa formule brute, et réciproquement. |
La formule brute est donnée. L'identification C et de H se fait à partir de la
connaissance de certains produits formés lors de la combustion : CO2
et H2O. L'identification est faite : -
soit expérimentalement (le protocole expérimental
est donné) ; -
soit à partir d'une expérience décrite (toutes les
indications sont fournies). Les composés ont au plus six atomes de carbone.
Une liaison double est au plus présente. |
-
Combustion complète ou incomplète d'hydrocarbures. -
Combustion de l'éthanol. -
Exploitation de documents relatifs à la sauvegarde
de l'environnement. -
Exploitation de documents relatifs aux composés
organiques volatils. |
Chimie 5 (Ch. 5) : combustion de composés organiques
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Composés organiques |
Identifier un composé organique; Identifier la présence de carbone et d'hydrogène
dans les composés organiques par combustion dans l'air. |
La formule brute est donnée. L'identification C et de H se fait à partir de la
connaissance de certains produits formés lors de la combustion CO2
et H2O. L'identification est faite : -
soit expérimentalement ; le protocole expérimental
est donné. -
soit à partir d'une expérience décrite ; toutes
les indications utiles sont fournies. |
-
Combustion complète ou incomplète d'hydrocarbures. -
Combustion de l'éthanol. -
Exploitation de documents relatifs à la sauvegarde
de l'environnement. |
Mécanique 1 (Mé. 1) : cinématique
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Mouvement d'un objet par référence à un autre
objet |
Reconnaître un état de mouvement ou de repos d'un
objet par rapport à un autre objet. Observer et décrire le mouvement d'un objet par
référence à un autre objet : -
trajectoire, -
sens du mouvement; |
L'observation est réalisée à partir d'une
situation réelle. Le mouvement peut être rectiligne ou circulaire. |
-
Observation et description du mouvement d'un être
humain. -
Sur l'exemple d'un voyageur assis dans un train,
mise en évidence du caractère relatif d'un mouvement. -
Chronophotographie. -
Construction ou exploitation de diagrammes temps-espace, de diagrammes temps-vitesse. -
Etude du déplacement de solides sur le plan
incliné, sur un plan horizontal, associés au plateau tourne-disque ou au
câble d'un ensemble moteur électrique-treuil. -
Chutes de billes dans différents fluides (eau-glycérol). -
Etude de systèmes industriels ou en relation avec
la vie professionnelle (vérin, câble d'un ensemble moteur électrique-treuil,
…) -
Calcul de vitesses moyennes. -
Lecture de vitesse instantannée
à l'aide d'un cinémomètre. -
Lecture de fréquence de rotation instantanée à
l'aide d'un tachymètre. -
Calcul de vitesses de coupe. -
Calcul de vitesse d'amenage
linéaire (bâtiment). |
Vitesse moyenne |
Calculer une vitesse moyenne pour un mouvement
rectiligne. Utiliser la relation : d = v t. |
Les mesures de temps sont réalisées avec un
chronomètre manuel ou électronique. L'unité légale de vitesse et le m/s. La vitesse
peut être exprimée en km/h ou toute unité
compatible avec la situation. La relation est donnée. Dans le cas d'une trajectoire quelconque, la
distance parcourue est donnée. |
|
Fréquence de rotation |
Calculer une fréquence moyenne de rotation pour un
mouvement circulaire. Utiliser la relation : v = π D n . |
La fréquence de rotation est le nombre de tours
effectués par seconde. La relation est donnée. V est la vitesse moyenne en
m/s. D est le diamètre en m, et n
est la fréquence de rotation en tr/s. |
|
Mouvement accéléré, ralenti, uniforme |
Reconnaître un mouvement accéléré, ralenti,
uniforme. |
Le mouvement peut être rectiligne ou circulaire.
Un relevé de mesures d'espace et de temps est fourni. |
Mécanique 2 (Mé. 2) : équilibre d'un solide
soumis à deux forces
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Actions mécaniques |
Reconnaître les différents types d'actions
mécaniques. |
La distinction entre action de contact, action à distance,
ponctuelle ou répartie est exigible. |
-
Etude de documents techniques en liaison avec le
domaine professionnel ou la vie courante. -
Equilibre de solides de masse négligeable soumis à
deux actions. -
Exploitation de schémas pour remplir le tableau
des caractéristiques d'une force. -
Prévision, à partir de schémas de solides soumis à
deux forces, de leur état d'équilibre ou non. -
Détermination de toutes les caractéristiques des
deux forces agissant sur un solide en équilibre. -
Recherche de la position du centre ce gravité de figures planes ou de solides usuels. -
Détermination de la masse volumique de solides. -
Activités liées à l'ergonomie. |
Force |
Nommer l'unité légale de la valeur d'une force.
Mesurer la valeur d'une force. Dresser le tableau des caractéristiques d'une
force extérieure agissant sur un solide. Représenter graphiquement une force. |
Le candidat utilise correctement le dynamomètre.
L'emploi du mot "vecteur" n'est pas exigé. Les caractéristiques sont : -
le point d'application ; -
la droite d'action; -
le sens ; -
la valeur. Les caractéristiques et l'échelle sont fournies. |
|
Solide en équilibre soumis à deux forces |
Enoncer les conditions d'équilibre d'un solide
soumis à deux forces : -
même droite d'action ; -
sens opposés ; -
même valeur. Prévoir l'équilibre d'un solide soumis à deux
forces. Utiliser les conditions d'équilibre dans le cas
d'un solide en équilibre soumis à deux forces. |
Le solide est en équilibre s'il ne bouge pas par
rapport à la Terre. Une action étant connue, déterminer l'autre. |
|
Poids et masse d'un corps |
Différencier masse et poids d'un corps. Utiliser la relation : P = m g . |
La différence doit être justifiée. Le poids est
une force ; sa valeur P s'exprime
en N. La masse est liée à la quantité de matière ; sa valeur m s'exprime en
kg. L'intensité de la pesanteur g
s'exprime en N/kg. La relation est donnée. La connaissance de la
valeur de g n'est pas exigible. |
|
Masse volumique d'un corps |
Calculer la masse volumique d'un solide de forme
géométrique simple à partir de ses dimensions et de sa masse. Calculer la masse volumique d'un solide ou d'un
liquide à partir de sa masse et de son volume. Utiliser la relation : m = p V . |
La relation m
= p V est donnée. L'unité légale de masse volumique est le kg/m3. L'utilisation du g/L ou de toute autre unité
pratique est autorisée. La relation m
= p V est donnée. La relation est donnée. |
Mécanique 3 (Mé. 3) : moment d'un couple
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|||||||||
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||||||||||
F d |
Calculer le moment M d'une force par rapport à un axe de rotation. Calculer la valeur d'une force connaissant son
moment. |
-
La droite d'action de la force est dans un plan
perpendiculaire à l'axe de rotation.
O La valeur de la force F est donnée. La distance d entre la droite d'action de la force
et l'axe est donnée. L'unité de moment N m est connue. La relation M
= F d est donnée. Mêmes conditions géométriques que ci-dessus. La
distance d entre la droite d'action
de la force et l'axe est donnée. |
-
Utilisation d'une barre à trous avec dynamomètres
et/ou masses marquées. -
Utilisation du disque des moments. -
Etude d'outils et de mécanismes en liaison avec le
domaine professionnel : tournevis, clé dynamométrique, scie circulaire,
machine tournante, casse-noix, brouette, démonte-pneu, pied de biche… -
Etude de la bonne position pour soulever une charge sans se faire mal au dos. |
||||||||
F1 F2 F1 F2 |
Identifier un couple de forces. |
Les droites d'action des deux forces sont
perpendiculaires ou non à la droite passant par leurs deux points
d'application. |
|
||||||||
Couple de forces (suite) Moment d'un couple de forces |
Prévoir le sens de rotation d'un solide soumis à un
couple de forces. Calculer le moment M d'un couple de forces. |
Mêmes conditions géométriques que ci-dessus. Les droites d'action des deux forces sont : -
dans un plan perpendiculaire à l'axe ; -
perpendiculaires à la droite passant par leurs
points d'application. L'unité de moment d'un couple de forces N.m est
connue. La relation M
= F d est donnée. |
Mécanique 4 (Mé. 4) : quelques grandeurs
physiques
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Force |
Nommer l'unité légale de la valeur d'une force. Mesurer la valeur d'une force. Dresser le tableau des caractéristiques d'une
force extérieure agissant sur un solide. Représenter graphiquement une force. |
Le candidat utilise correctement le dynamomètre.
L'emploi du mot "vecteur" n'est pas exigé. Les caractéristiques sont : -
le point d'application ; -
la droite d'action ; -
le sens ; -
la valeur. Les caractéristiques et l'échelle sont fournies. |
-
Détermination de la masse volumique de solides et
de liquides. -
Exploitation de schémas pour remplir le tableau
des caractéristiques d'une force. -
Recherche de la position du centre de gravité de
figures planes ou de solides usuels. -
Représentation du poids d'un corps. -
Calcul de la valeur du poids d'un corps. -
Calcul de la densité d'un liquide. |
Poids et masse d'un corps |
Différencier masse et poids d'un corps. Utiliser la relation : P = m g . |
La différence doit être justifiée. Le poids est une
force ; sa valeur P s'exprime en N. La masse est liée à la quantité de
matière ; sa valeur m s'exprime en kg. L'intensité de la pesanteur g s'exprime en N/kg. La relation est donnée. La connaissance de la
valeur de g n'est pas exigible. |
|
Masse volumique d'un corps |
Calculer la masse volumique d'un solide de forme
géométrique simple à partir de ses dimensions et de sa masse. Calculer la masse volumique d'un solide ou d'un
liquide à partir de sa masse et de son volume. Utiliser la relation : m = p V . |
La relation m
= p V est donnée. L'unité légale de masse volumique est le kg/m3. L'utilisation du g/L ou de toute autre unité
pratique est autorisée. La relation m
= p V est donnée. La relation est donnée. |
|
Densité d'un liquide |
Calculer la densité d'un liquide à partir de sa
masse volumique. Déterminer la masse volumique d'un liquide à
partir de sa densité. |
La masse volumique de l'eau est donnée. La masse volumique de l'eau est donnée. |
Mécanique 5 (Mé. 5) : pression
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Forces pressantes |
Indiquer la droite d'action et le sens d'une force
pressante. Calculer la pression exercée par un solide ou un
fluide sur une surface. Calculer la valeur d'une force pressante. Nommer l'unité de pression. |
Les caractéristiques de la force pressante sont
mises en évidence expérimentalement. La relation : P = est donnée. L'unité légale est le pascal. La pression peut
être exprimée en bar ou toute autre unité compatible avec la situation. |
-
Expérience de la bouteille percée pour mettre en
évidence les caractéristiques de forces pressantes. -
Calcul de la valeur de la force exercée sur la
tige d'un vérin connaissant la pression du fluide. |
Acoustique (Ac.) : ondes sonores
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Onde sonore |
Identifier expérimentalement un son périodique. Mesurer la période T d'un son périodique. |
Le protocole expérimental ou l'oscillogramme est
fourni. Le protocole expérimental ou l'oscillogramme est
fourni. |
-
Expériences utilisant un GBF, un haut-parleur, un
microphone et un oscilloscope, un diapason. -
Utilisation d'un sonomètre. -
Lecture et exploitation de documents techniques. |
Caractéristique d'un son pur |
Utiliser la relation : F = Nommer l'unité de fréquence d'un son. Classer les sons du plus grave au plus aigu
connaissant les fréquences. Nommer l'unité de niveau d'intensité sonore. Mesurer un niveau d'intensité sonore avec un
sonomètre. |
La relation est donnée. La liste comporte six fréquences au plus. L'unité légale est le bel. Le niveau d'intensité
sonore peut être exprimé en décibel. Le mode d'emploi du sonomètre est fourni. |
|
Absorption des ondes sonores |
Comparer expérimentalement le pouvoir absorbant de
divers matériaux. |
Le protocole expérimental est fourni. Les matériaux sont fournis. |
Electricité 1 (El. 1) : circuits électriques en courant continu
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Schéma électrique |
Lire ou représenter un schéma électrique
comportant générateur, lampes, dipôles résistifs, interrupteur, fils
conducteur, fusibles. |
Les symboles sont connus. Les circuits ont au plus
deux branches. Les symboles sont les mêmes que ceux de l'enseignement
professionnel, et conformes à la norme en vigueur. |
-
Réalisation et exploitation d'un montage
comprenant : .
une cuve à électrolyse, .
une lampe, .
un dispositif électromagnétique. -
Etude d'une lampe de poche. -
Utilisation comparée d'un rhéostat et d'un
potentiomètre. -
Mesure de l'intensité du courant et de la tension
aux bornes des récepteurs dans un circuit comportant : -
soit un dipôle résistif, -
soit un rhéostat, -
soit un groupement série ou dérivation des
récepteurs précédents. -
Vérification expérimentale de la loi d'Ohm. -
Détermination graphique de la résistance d'un
dipôle résistif. |
Mesures d'intensité ou de tension |
Nommer l'appareil permettant de mesurer : -
l'intensité d'un courant , -
une tension aux bornes d'un dipôle. Nommer les unités d'intensité et de tension. Représenter sur un schéma : -
l'insertion d'un ampèremètre dans un circuit ; -
l'insertion d'un voltmètre dans un circuit. Mesurer : -
l'intensité d'un courant ; -
une tension aux bornes d'un dipôle. |
Les circuits ont au plus deux branches. |
|
Dipôles passifs |
Réaliser un montage permettant de tracer la
caractéristique intensité - tension d'un dipôle. |
Le protocole expérimental est fourni. |
|
Loi d'Ohm |
Reconnaître si un dipôle passif est linéaire ou
non. Mesurer une résistance à l'ohmmètre. Appliquer la loi d'Ohm à un dipôle passif et
linéaire. Choisir le fusible à insérer dans un circuit. |
Cette reconnaissance se fait à partir d'une expérience
réalisée par le candidat ou décrite. Dans le cas de l'utilisation d'un
instrument de mesure multifonctions, l'emploi est explicité. La relation U = R I est donnée. L'unité légale de
résistance, l'ohm, est connue. |
|
Additivité des intensités |
Appliquer la propriété d'additivité des intensités
dans un circuit fermé avec dérivation. |
Les circuits ont au plus deux branches. |
|
Additivité des tensions |
Appliquer la propriété d'additivité des tensions aux
bornes d'un groupement de dipôles montés en série. |
Le nombre de dipôles montés en série est limité à
quatre |
Electricité 2 (El. 2) : courant alternatif sinusoïdal monophasé,
puissance et énergie
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Régime alternatif sinusoïdal monophasé |
Identifier une tension continue, une tension
alternative. Déterminer graphiquement, pour un courant
alternatif sinusoïdal monophasé : -
la valeur Umax
de la tension maximale ; -
la période T. Utiliser la relation : F = Calculer les valeurs U et l de la tension
efficace et de l'intensité efficace. Lire et interpréter la plaque signalétique d'un
appareil. |
Les oscillogrammes sont fournis. Les oscillogrammes sont fournis. La période T est exprimée en seconde. Sa valeur minimale est une milliseconde. La relation est donnée. Les multiples usuels du hertz peuvent être
utilisés. Les relations U
= et I = sont
fournies. Il s'agit de vérifier la compatibilité de la
tension d'utilisation d'un récepteur avec la tension d'alimentation (valeur,
nature). |
-
Utilisation d'un GBF et d'un oscilloscope sans
balayage et avec balayage. -
Comparaison des effets d'une tension alternative
et d'une tension continue. -
Observation et exploitation d'oscillogrammes. -
Représentation graphique des variations d'une
tension alternative en fonction du temps. -
Branchement de différents appareils électroménagers
; repérage des caractéristiques. -
Vérification de la validité de la loi d'Ohm pour
un dipôle résistif en régime alternatif monophasé. -
Calcul de l'énergie absorbée par des dipôles
purement résistifs de puissance connue à l'aide de la mesure de la durée de
fonctionnement. -
Lecture et exploitation de la plaque signalétique
d'une pompe. -
Calcul de la tension efficace à partir de la
tension maximale lue sur un oscillogramme et vérification à l'aide du
voltmètre. |
Puissance électrique en régime sinusoïdal monophasé |
Mesurer la puissance électrique absorbée par un ou
plusieurs dipôles purement résistifs. Appliquer la loi de Joule dans le cas de dipôles
purement résistifs. Choisir le dipôle résistif à insérer dans un
circuit en fonction de : -
sa résistance ; -
l'intensité maximale ; -
sa puissance. |
Le wattmètre doit être inséré dans le circuit par
l'évaluateur. La relation P
= R F est donnée. L'unité légale de puissance, le watt, est connue. Les données sont : -
tension ; -
intensité maximale ; -
puissance ; -
fréquence. |
|
Energie électrique en régime sinusoïdal monophasé |
Appliquer la relation E = P 1 en alternatif pour prévoir la puissance absorbée par un
appareil. Appliquer la relation E = R F 1 dans le cas d'un dipôle purement résistif. Exploiter les caractéristiques électriques d'une
fiche constructeur à propos d'un matériel donné. |
L'énergie peut se noter E ou W. La relation est
donnée. L'unité légale d'énergie, le joule, est connue, de même que les
unités pratiques : Wh, kWh. La relation est donnée. |
Thermique 1 (Th. 1) : thermométrie
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Température |
Repérer une température. Transformer une température exprimée en
"Kelvin" en "degré Celsuis". Décrire le fonctionnement : d'un thermocouple. |
La relation θ°C = TK -
273 est donnée. |
-
Utilisation de différents thermomètres. -
Description du principe de graduation d'un
thermomètre à alcool -
Utilisation d'un dilatomètre à cadran. -
Utilisation d'un ballon rempli complètement d'eau
colorée, fermé par un bouchon traversé
par un tube fin, et plongé dans l'eau
chaude. |
Dilatation linéique et volumique |
Comparer la dilatation de différents solides. |
Le nombre de solides est limité à 6. |
Thermique 2 (Th. 2) : propagation de la chaleur et isolation thermique
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Propagation de la chaleur |
Distinguer les deux modes de propagation de la
chaleur, convection et conduction. |
|
-
Chauffage d'un liquide dans un récipient
métallique ou en verre. -
Thermosiphon. -
Comparaison de la conduction thermique de
différents matériaux solides : cuivre
fer zinc verre bois eau bouillante -
Observation et description d'un calorimètre, d'une
bouteille thermiquement isolée. -
Mise en évidence d'un pont thermique par la
lecture et l'exploitation de documents techniques. |
Isolation thermique |
Citer des corps conducteurs de la chaleur. Citer des isolants. |
Dans les deux cas, une liste de 6 matériaux au
plus est donnée. |
Thermique 3 (Th. 3) : température et propagation de chaleur
DOMAINES ET CONNAISSANCES |
COMPÉTENCES |
ÉVALUATION |
|
CONDITIONS |
EXEMPLES D'ACTIVITÉS |
||
Température |
Repérer une température. Transformer une température exprimée en
"Kelvin" en "degré Celsius". Décrire le fonctionnement d'un thermocouple |
La relation θ°C = TK -
273 est donnée. |
-
Utilisation de différents thermomètres. -
Observation et utilisation d'un bilame et d'un
thermocouple : guirlande électrique, prise extérieure de température, … -
Comparaison de la conduction thermique de
différents matériaux solides : cuivre fer
zinc verre bois eau bouillante |
Propagation de la chaleur |
Distinguer les deux modes de propagation de la
chaleur, convection et conduction. |
|